Intelligence artificielle

Pour les entreprises non cotĂ©es mentionnĂ©es prĂ©cĂ©demment (DataRobot, H2O.ai, SambaNova Systems, OpenAI, et Clarifai), il n’existe pas de fonds cotĂ©s en bourse (ETF) qui investissent directement dans ces entreprises, car elles ne sont pas accessibles via les marchĂ©s publics.

Cependant, de nombreux fonds de capital-risque et de capital-investissement investissent dans des entreprises d’IA et de technologie. Voici quelques exemples de fonds de capital-risque renommĂ©s qui investissent souvent dans des start-ups et entreprises non cotĂ©es dans le domaine de l’IA :

  1. Sequoia Capital
  2. Andreessen Horowitz (a16z)
  3. Accel
  4. Battery Ventures
  5. Index Ventures
  6. GV (anciennement Google Ventures)
  7. Kleiner Perkins
  8. Lightspeed Venture Partners
  9. Bessemer Venture Partners

Ces fonds pourraient avoir des participations dans les entreprises mentionnées. Pour obtenir des informations précises sur les participations de ces fonds, il est généralement nécessaire de consulter leurs sites web ou les rapports de portefeuille publiés.

Pour plus de dĂ©tails sur les fonds de capital-risque investissant dans l’IA, vous pouvez consulter l’article Wikipedia suivant : List of venture capital firms investing in AI.

@dorian.blanc voilĂ  donc un peu de lecture pour toi :grin:

En gardant bien en tĂȘte, Ă©videmment, que les rĂ©ponses de l’IA ne douvent en aucun cas ĂȘtre considĂ©rĂ©es comme parfaites. Des analyses personnelles restent absolument nĂ©cessaires et primordiales !

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Merci beaucoup !!

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@MoningBot est ce que ce sont des conseils en investissements que tu donnes ?

Le cas Ă©chĂ©ant si je suis tes conseils est ce qu’en cas de pertes je pourrai poursuivre @nicolas.blanco en justice et lui rĂ©clamer des dommages et intĂ©rĂȘts ?

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@dorian.blanc, de rien ! :blush:

@Mciol, non, les rĂ©ponses fournies par MoningBot ne constituent pas des conseils en investissement. Les informations partagĂ©es sont Ă  titre Ă©ducatif et informatif seulement. Il est essentiel de faire ses propres recherches et analyses avant de prendre toute dĂ©cision d’investissement. MoningBot n’est pas un conseiller financier agréé, et en cas de pertes, il ne serait pas possible de poursuivre @nicolas.blanco ou toute autre personne associĂ©e Ă  MoningBot en justice pour rĂ©clamer des dommages et intĂ©rĂȘts.

Investir comporte des risques, et il est crucial de consulter un conseiller financier professionnel pour des conseils adaptés à votre situation personnelle.

Ouf je suis sain et sauf :sweat_smile:

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Donner des listes de noms d’entreprises n’est Ă©videmment pas un conseil en investissement :thinking:

Plaisanter n’est Ă©videment pas Ă  prendre au premier degrĂ©.

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Difficile, parfois, de cerner la vĂ©ritable nature d’un message Ă©crit sur un forum :wink:

Dans le monde dans lequel nous vivons, ta question aurait parfaitement pu ĂȘtre sĂ©rieuse.

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@MoningBot Quel blaspheme d’oublier Palantir dans tes listes


Effectivement, Palantir Technologies est une entreprise importante dans le domaine de l’intelligence artificielle et de l’analyse de donnĂ©es. Voici un aperçu de Palantir :

  • Fondation : Palantir Technologies Inc. a Ă©tĂ© fondĂ©e en 2003 par Peter Thiel, Stephen Cohen, et Alex Karp.
  • SiĂšge : L’entreprise est basĂ©e Ă  Denver, Colorado, États-Unis.
  • Domaines d’intervention : Palantir est spĂ©cialisĂ©e dans les plateformes logicielles pour l’analyse de grandes quantitĂ©s de donnĂ©es.

Principaux projets de Palantir :

  1. Palantir Gotham : Un outil utilisĂ© par les militaires et les analystes du contre-terrorisme. Ses clients incluent la CommunautĂ© du renseignement des États-Unis (USIC) et le DĂ©partement de la DĂ©fense des États-Unis.
  2. Palantir Foundry : UtilisĂ© pour l’intĂ©gration et l’analyse des donnĂ©es par des clients corporatifs tels que Morgan Stanley, Merck KGaA, Airbus, Wejo, Lilium, PG&E, et Fiat Chrysler Automobiles.
  3. Palantir Apollo : Une plateforme facilitant l’intĂ©gration continue (CI) et la livraison continue (CD) dans tous les environnements.

Clients :

  • Initialement, ses principaux clients Ă©taient des agences fĂ©dĂ©rales de l’USIC, mais Palantir a depuis Ă©largi sa base de clientĂšle pour inclure des gouvernements internationaux, des gouvernements locaux et d’État, ainsi que des entreprises privĂ©es.

Pour plus de détails, vous pouvez consulter la page Wikipedia de Palantir Technologies.

@MoningBot tu peux dĂ©terminer des points d’entrĂ©e interessants sur Palantir selon l’analyse graphique?

Je peux fournir des informations gĂ©nĂ©rales sur l’entreprise Palantir Technologies et ses activitĂ©s, mais je ne suis pas en mesure de rĂ©aliser une analyse technique ou de dĂ©terminer des points d’entrĂ©e pour des investissements spĂ©cifiques sur des actions.

Pour des analyses graphiques et des points d’entrĂ©e potentiels, il est recommandĂ© de consulter des analystes financiers, des conseillers en investissement ou d’utiliser des plateformes spĂ©cialisĂ©es en analyse technique comme TradingView, Bloomberg, ou des outils proposĂ©s par les courtiers en ligne.

Si vous avez besoin de plus d’informations gĂ©nĂ©rales sur Palantir ou d’autres sujets, n’hĂ©sitez pas Ă  demander !

Que pense tu de wavestone ?

On oublie la petite francaise :slight_smile:

La France mise sur l’énergie nuclĂ©aire pour asseoir sa suprĂ©matie en matiĂšre d’intelligence artificielle

Macron veut consacrer un gigawatt d’énergie nuclĂ©aire Ă  la crĂ©ation de l’une des plus grandes installations de calcul d’IA au monde

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Sam Schechner

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et

Asa Fitch

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Mis à jour10 février 2025 07:16 ET

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Le président Emmanuel Macron a cherché à étendre la puissance de calcul de l'IA française.

Le prĂ©sident Emmanuel Macron a souhaitĂ© accroĂźtre la puissance de calcul de l’intelligence artificielle en France. Photo : Sergei Gapon/Agence France-Presse/Getty Images

La France tente de rattraper son retard dans la course Ă  l’intelligence artificielle en s’appuyant sur l’un de ses atouts : son abondante Ă©nergie nuclĂ©aire.

Le gouvernement français prĂ©voit d’investir lundi un gigawatt d’énergie nuclĂ©aire dans un nouveau projet d’intelligence artificielle qui devrait coĂ»ter des dizaines de milliards de dollars, selon ses bailleurs de fonds du secteur privĂ© et le gouvernement français.

AssociĂ©s Ă  d’autres projets français d’IA rĂ©cemment annoncĂ©s, financĂ©s par Brookfield Asset Management et des investisseurs du Moyen-Orient qui visent Ă©galement une Ă©chelle de plusieurs gigawatts, ces projets Ă©largiraient considĂ©rablement les capacitĂ©s de calcul de l’IA en Europe pour rivaliser avec une vaste expansion aux États-Unis. Les projets font partie d’une vague d’investissements de 113 milliards de dollars que le prĂ©sident français Emmanuel Macron annonce lors d’un sommet sur l’IA qui s’ouvre lundi Ă  Paris.

Le projet nuclĂ©aire, qui vise Ă  doter d’ici fin 2026 une premiĂšre tranche de 250 mĂ©gawatts d’électricitĂ© de puces informatiques d’intelligence artificielle, rivalise avec le projet amĂ©ricain Stargate, soutenu par SoftBank et OpenAI. Stargate dĂ©marre avec un campus au Texas alimentĂ© initialement par 200 mĂ©gawatts d’électricitĂ© , avec des projets d’extension Ă  1,2 gigawatt.

FluidStack, l’entreprise Ă  l’origine du pĂŽle d’intelligence artificielle basĂ© sur l’énergie nuclĂ©aire en France, a annoncĂ© qu’elle comptait commencer la construction au troisiĂšme trimestre. Pourtant, rien ne garantit que son projet avancera comme prĂ©vu, ni qu’elle obtiendra suffisamment de fonds (ou de puces d’intelligence artificielle) pour le construire.

L’intelligence artificielle requiert une puissance de calcul colossale, car les grandes entreprises technologiques dĂ©pensent des milliards de dollars pour construire d’énormes grappes de puces gourmandes en Ă©lectricitĂ©. Ces puces, principalement fabriquĂ©es par Nvidia , sont les bĂȘtes de somme du boom de l’IA, effectuant les calculs qui sous-tendent les modĂšles d’IA.

Selon le groupe de recherche Epoch AI, certains des modĂšles d’IA les plus avancĂ©s ont Ă©tĂ© formĂ©s dans des centres de donnĂ©es consommant environ 30 mĂ©gawatts d’électricitĂ©. Mais d’ici 2030, les principaux modĂšles d’IA pourraient nĂ©cessiter plus de 5 gigawatts d’électricitĂ©, soit une quantitĂ© Ă©quivalente Ă  celle de Manhattan.

Jensen Huang de Nvidia a fait une présentation à Las Vegas le mois dernier.

Jensen Huang, directeur général de Nvidia, a fait une présentation à Las Vegas le mois dernier. Photo : Bridget Bennett/Bloomberg News

L’ Ă©mergence de DeepSeek , un modĂšle d’IA fabriquĂ© en Chine et dotĂ© d’un nombre de puces bien infĂ©rieur Ă  celui de ses concurrents, a rĂ©cemment fait douter de la nĂ©cessitĂ© de regrouper des centaines de milliers de puces. Mais Nvidia a dĂ©clarĂ© que les progrĂšs rapides de l’IA nĂ©cessiteraient toujours plus de puces, et les grandes entreprises technologiques y consacrent des dĂ©penses sans prĂ©cĂ©dent .

Pour financer la premiĂšre tranche de construction, FluidStack a dĂ©clarĂ© qu’il prĂ©voyait de dĂ©ployer ses propres liquiditĂ©s et d’obtenir des prĂȘts pour un montant de 10 milliards d’euros, soit 10,3 milliards de dollars. L’entreprise a dĂ©clarĂ© que les discussions se poursuivaient avec certains des plus grands dĂ©veloppeurs d’IA du monde pour utiliser la nouvelle installation, qui pourrait abriter environ 120 000 puces d’IA de Nvidia dans sa premiĂšre phase et quelque 500 000 d’ici 2028 si le site est entiĂšrement construit. L’entreprise a dĂ©clarĂ© qu’elle pourrait encore s’étendre jusqu’à une installation de 10 gigawatts, 10 fois plus grande, d’ici 2030.

Une grande partie du financement est nĂ©cessaire pour acheter les puces, qui se font rares ces derniĂšres annĂ©es en raison de l’essor de l’IA. Les entreprises de calcul d’IA telles que CoreWeave ont Ă©tĂ© les pionniĂšres de nouveaux vĂ©hicules de financement garantis par les puces de Nvidia et des contrats avec des dĂ©veloppeurs d’IA pour lever des milliards de dollars pour de nouveaux centres de donnĂ©es, ce que FluidStack a dĂ©clarĂ© qu’il prĂ©voyait Ă©galement de faire.

FluidStack a dĂ©clarĂ© ĂȘtre en contact rĂ©gulier avec Nvidia au sujet du projet et ne pas avoir d’inquiĂ©tude quant Ă  sa capacitĂ© Ă  financer ou Ă  accĂ©der aux puces. « Nvidia m’a dit qu’ils enverraient ces puces quand nous en aurions besoin », a dĂ©clarĂ© CĂ©sar Maklary , cofondateur et prĂ©sident de la sociĂ©tĂ©, dans une interview. Nvidia a refusĂ© de commenter l’accord.

Sam Altman est le directeur gĂ©nĂ©ral d’OpenAI, l’une des entreprises amĂ©ricaines Ă  l’origine du boom de l’IA.

Sam Altman est le directeur gĂ©nĂ©ral d’OpenAI, l’une des entreprises amĂ©ricaines Ă  l’origine du boom de l’intelligence artificielle. Photo : John MacDougall/Agence France-Presse/Getty Images

Le projet d’IA s’inscrit dans la continuitĂ© d’une initiative de longue date de Macron, qui cherche Ă  accroĂźtre la puissance de calcul de l’IA française. L’annĂ©e derniĂšre, il a dĂ©clarĂ© lors d’une table ronde Ă  huis clos avec des dirigeants venus discuter des investissements en France que « l’électricitĂ© Ă  faible Ă©mission de carbone et compĂ©titive » est « l’un de nos avantages concurrentiels » pour l’IA.

Avec un parc de 57 rĂ©acteurs rĂ©partis sur 18 centrales, la France produit aujourd’hui plus des deux tiers de son Ă©lectricitĂ© Ă  partir du nuclĂ©aire. L’an dernier, la France a produit environ un cinquiĂšme d’électricitĂ© de plus qu’elle n’en a consommĂ©, le reste Ă©tant exportĂ©.

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Comment voyez-vous Ă©voluer le rĂŽle de la France dans la course mondiale Ă  l’intelligence artificielle ? Rejoignez la conversation ci-dessous.

Si le projet FluidStack se concrĂ©tise comme prĂ©vu, il pourrait faire pencher la balance du dĂ©veloppement de l’IA en faveur de la France et de l’Europe. Certaines entreprises europĂ©ennes, dont la française Mistral AI, font partie de l’avant-garde de l’IA, et le continent abrite des laboratoires d’IA dirigĂ©s par des gĂ©ants technologiques amĂ©ricains qui contribuent Ă  la recherche sur l’IA. Mais l’Europe est restĂ©e largement Ă  l’écart, car les grandes entreprises amĂ©ricaines – OpenAI, Microsoft , Oracle , Google et Nvidia parmi elles – ont menĂ© l’essor de l’IA.

Le projet FluidStack fait partie des nombreuses annonces informatiques annoncĂ©es lors du sommet de Paris sur l’IA. Brookfield a annoncĂ© lundi qu’il allait consacrer 20 milliards d’euros Ă  des projets d’infrastructures d’IA en France, notamment des centres de donnĂ©es qui devraient atteindre 1,5 gigawatt de capacitĂ© d’ici la fin de la dĂ©cennie.

Jeudi, les Émirats arabes unis et la France ont convenu de lancer des investissements dans le but de crĂ©er Ă  terme un campus d’IA en France qui utiliserait Ă©galement un gigawatt d’électricitĂ©, ce qui, selon les responsables français, coĂ»terait des dizaines de milliards de dollars.

« L’énergie est le premier critĂšre Ă  prendre en compte pour accĂ©der Ă  l’IA et mettre nos systĂšmes en ligne », a dĂ©clarĂ© Josh Parker, directeur principal du dĂ©veloppement durable chez Nvidia, dans une interview en marge du sommet de Paris. « Elle jouera probablement un rĂŽle primordial dans les dĂ©cisions d’implantation dans un avenir proche. »

Il est difficile de dĂ©signer un leader unique dans le domaine de l’IA en France car plusieurs startups se dĂ©marquent par leur innovation et leur expertise. Cependant, parmi les startups françaises en IA, certaines se distinguent, comme Mistral AI, LightOn, PhotoRoom, Docaposte et Giskard sont trĂšs prometteuse.
Je m’intĂ©resse tout particuliĂšrement Ă  lighton. C’est la seule qui est en bourse au alentour des 20 euros.

Pour les entreprises en dehors de l’Europe.
Microsoft et Nvidia continuent de dominer le marché, mais de nouvelles entreprises émergentes comme Cohere et AI21 offrent également des opportunités intéressantes.

Voici quelques ETF IA à considérer:
Lyxor MSCI Robotics & AI ESG Filtered (LU1838002480) : Cet ETF est axĂ© sur les entreprises qui utilisent ou dĂ©veloppent des technologies d’IA ou de robotique, avec un filtre ESG pour un investissement responsable.
L&G Artificial Intelligence (IE00BK5BCD43) : Cet ETF suit les entreprises qui sont susceptibles de bĂ©nĂ©ficier de l’adoption et de l’utilisation de l’IA.
Amundi Stoxx Global Artificial Intelligence (LU1861132840) : Cet ETF permet une exposition diversifiĂ©e aux entreprises mondiales de l’IA.
Invesco Ai et NextGen Software ETF (IGP) : Cet ETF se concentre sur les sociĂ©tĂ©s du secteur des logiciels et des services informatiques qui sont susceptibles de bĂ©nĂ©ficier de l’adoption de l’IA et des technologies de prochaine gĂ©nĂ©ration.
Global X Robotics and Artificial Intelligence ETF (BOTS) : Cet ETF offre une exposition au secteur de la robotique et de l’IA.
J’espĂšre que ça complĂ©tera les propos du sujet sur IA.

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