Salut Clément,
Dâun cĂŽtĂ© tu me parles dâune sociĂ©tĂ© que je nâai pas du tout (mĂȘme sur la sociĂ©tĂ© jâai juste fait une PV quand elle Ă©tait tombĂ© vers les 27/28e), et de lâautre, ma plus forte position, sur les 3 portefeuilles que je gĂšre.
CĂŽtĂ© connaissance propre des sociĂ©tĂ©s, jâai bossĂ© avec les 2 sur des trĂšs gros projets (AĂ©roport, Stade, Tour Eiffel, âŠ) et franchement, câest avec Vinci que câĂ©tait toujours bien plus fluide et efficace.
CĂŽtĂ© investissement, Vinci est dĂ©jĂ le leader mondial du BTP (hormis un ou deux chinois qui bossent surtout pour lâEtat Chinois). Ensuite je prĂ©fĂšre infiniment fois plus la diversification dans les concessions de Vinci (autoroute, tunnel, pont, stade, aĂ©roport, âŠ) dans le monde entier, que celle de Bouygues dans les mĂ©dias et la communication, qui sont des secteurs que je fuis Ă titre perso (concurrence de malade, « moat » difficile, tendance ultra volatile, âŠ).
Ce que jâaime en revanche avec Bouygues, câest le cĂŽtĂ© encore familial du « board », mais cĂŽtĂ© Vinci, les gens de la direction sont gĂ©nĂ©ralement des gens qui ont pas mal dâannĂ©e de maison, et qui ont gravis les Ă©chelons petit Ă petit, connaissent le terrain, donc cela compense Ă mes yeux.
Et cĂŽtĂ© dĂ©tention de lâaction, Bouygues est une pure valeur de rendement qui traine toujours autour des 30e, avec 5% de rendement, lĂ oĂč Vinci câest un mix de croissance/rendement Ă©volutif, qui me plait un peu plus, Ă lâimage de Schneider, Air Liquide, LâOrĂ©al, Luxe, âŠ
VoilĂ je pense avoir fait le tour.