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NVIDIA : La valeur du jour Ă  Wall Street - Nvidia affiche un nouveau plus haut historique

Le 28 mai 2024 Ă  17:18

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L’action Nvidia (+4,91% Ă  1117 dollars) affiche sa troisiĂšme sĂ©ance d’affilĂ©e dans le vert depuis la publication de ses rĂ©sultats trimestriels. Le spĂ©cialiste des puces pour les applications d’intelligence artificielle pĂšse dĂ©sormais 2750 milliards de dollars en Bourse, soit plus que l’ensemble du marchĂ© allemand. Non seulement Nvidia a prĂ©sentĂ© des rĂ©sultats et des prĂ©visions trĂšs supĂ©rieurs aux attentes, mais la sociĂ©tĂ© a soulignĂ© que la demande allait rester supĂ©rieure Ă  l’offre pendant une bonne partie de l’annĂ©e prochaine.

Cette nouvelle hausse intervient alors que selon la presse amĂ©ricaine, xAI, l’entreprise amĂ©ricaine spĂ©cialisĂ©e dans l’intelligence artificielle créée par Elon Musk, est en train de construire un superordinateur Ă©quipĂ© de puces Nvidia. xAI a rĂ©cemment indiquĂ© avoir levĂ© 6 milliards de dollars lors de son dernier tour de table.

Au premier trimestre, clos fin avril, le groupe technologique a vu son bĂ©nĂ©fice net s’envoler de 628% Ă  14,88 milliards de dollars grĂące Ă  une envolĂ©e de 262% de ses revenus Ă  26 milliards de dollars. Sur le trimestre en cours, Nvidia prĂ©voit en moyenne 28 milliards de dollars de ventes.

" Plus important encore, la direction a indiquĂ© que la demande continuera Ă  dĂ©passer l’offre au cours de l’annĂ©e calendaire 2025, ce qui pourrait attĂ©nuer les craintes d’une accumulation/correction des stocks au cours du second semestre de l’annĂ©e prochaine ", fait remarquer JPMorgan.

Pour Jefferies, la division par 10 son action est une décision pragmatique. Elle sera effective le 10 juin et rendra plus accessible le titre au grand public.

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Elle va passer devant Apple, quelle époque formidable


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J’ai Ă©tĂ© victime de l’engouement
 J’en ai pris une Ă  l’ouverture.

Personnellement, j’attends le Split. N’ayant pas la trĂ©so pour me placer


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Allergique aux fractions d’actions ?:stuck_out_tongue:

Quand je vois le spread pratiquĂ© par TR sur certains ETF, ça refroidit


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Passe chez IBKR il fait beau tous les jours :wink:

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Le spread est mĂȘme une colonne que tu peux configurer sur tes listes, tu vois aussi les cours acheteur/vendeur

D’ailleurs, on peut voir le CO sur IBKR? ou uniquement sur TWS?

Nvidia ( NASDAQ : NVDA ) a atteint une valeur de 3 300 milliards de dollars mardi alors que ses actions ont augmentĂ© d’environ 3,3 % , dĂ©passant Microsoft ( MSFT ) et Apple ( NASDAQ : AAPL ) pour devenir l’entreprise la plus valorisĂ©e au monde.

Les actions du fabricant de puces ont augmentĂ© de 180 % depuis le dĂ©but de l’annĂ©e et de plus de 200 % au cours des 12 derniers mois, sous l’effet d’une forte demande pour ses puces d’IA.

La société a atteint la capitalisation boursiÚre combinée de deux autres grands noms de capitalisation, Amazon ( AMZN ) et Tesla ( TSLA ), en mai. Début juin, il a dépassé Apple ( AAPL ) pour la premiÚre fois depuis 2002.

La capitalisation boursiĂšre de Nvidia ( NVDA ) a plus que dĂ©cuplĂ© au cours des quatre derniĂšres annĂ©es, passant d’environ 323,24 milliards de dollars en 2020 Ă  3,32 billions de dollars actuellement.

Pendant ce temps, les fabricants de puces concurrents AMD ( AMD ) ont augmentĂ© d’environ 11 % et Intel ( INTC ) a chutĂ© de prĂšs de 36 % depuis le dĂ©but de l’annĂ©e. La demande pour les accĂ©lĂ©rateurs H100 de Nvidia a contribuĂ© Ă  gĂ©nĂ©rer des bĂ©nĂ©fices Ă  succĂšs et des prĂ©visions optimistes.

L’analyste Daniel Ives de Wedbush Securities estime que Nvidia ( NVDA ), Apple ( AAPL ) et Microsoft ( MSFT ) seront Ă  l’avant-garde de la course Ă  la capitalisation boursiĂšre de 4 000 milliards de dollars dans le secteur technologique au cours de l’annĂ©e prochaine.

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Je pense qu’Nvidia gardera la tĂȘte un petit moment perso

Rien que pour ça Nvidia a de beaux jours devant elle

Vous voyez l’avatar dans l’appartement dans BladeRunner?
On en est plus si loin


image
(oui c’est pas le vieux film je sais)

Bullshit

Article intĂ©ressant sur l’ia pour comprendre sa naissance, sa croissance et son futur https://situational-awareness.ai/

Hello, un article de capital releve que JP morgan serait plutot pessimiste sur la bourse US et notamment le secteur de l’IA vers fin 2024 et invite a la prudence, vous en pensez quoi? https://www.capital.fr/entreprises-marches/bourse-jpmorgan-brandit-le-spectre-dun-krach-du-dow-jones-et-du-nasdaq-1498413

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Et JPMorgan craint un plongeon de presque 25% des actions américaines.

Je rechaaaaaaaarge NVIDIAAAA

trip tripping GIF by ZeTrystan

Plus serieusement perte de 25% des actions americaines on revient mĂȘme pas au niveau du dĂ©but de l’annĂ©e
 alors presque normal, ya les elections qui arrivent

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Quand tu vois nvidia qui fait +180% en un an, -25% c’est une aubaine :yum:

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La scission de Google commence Ă  ĂȘtre prise en compte dans les prix

La valorisation a chutĂ©, les analystes Ă©tant moins optimistes quant au fait que les doubles affaires antitrust laisseront l’entreprise indemne

Par

Dan Gallagher

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14 septembre 2024 7h30 ET

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Un juge fĂ©dĂ©ral a statuĂ© le mois dernier que Google s’était livrĂ© Ă  des pratiques illĂ©gales pour maintenir sa domination dans le domaine de la recherche sur Internet. Photo : Leonardo Munoz/VIEWpress/Getty Images

Le gouvernement fédéral est encore loin de démanteler Google. Les investisseurs commencent à considérer cette possibilité comme acquise.

Le procĂšs antitrust du ministĂšre de la Justice contre le gĂ©ant de l’internet a dĂ©butĂ© lundi. Il intervient un mois aprĂšs que Google a perdu le premier procĂšs, un juge fĂ©dĂ©ral ayant jugĂ© que l’entreprise s’était livrĂ©e Ă  des pratiques illĂ©gales pour maintenir sa domination sur la recherche sur Internet. Le procĂšs en cours remet en cause la position de Google dans le secteur de la technologie publicitaire, oĂč les outils de l’entreprise jouent un rĂŽle majeur dans l’achat et la vente de publicitĂ©s en ligne.

Dans le premier cas, le gouvernement pourrait ordonner la sĂ©paration des activitĂ©s de recherche des plateformes Android et Chrome de l’entreprise. Dans le second cas, le gouvernement cherche Ă  obtenir une ordonnance qui obligerait Google Ă  se sĂ©parer de ses services de technologie publicitaire.

Des manifestants font la queue devant le tribunal de Virginie avant l’ouverture des dĂ©bats dans le deuxiĂšme procĂšs antitrust de Google, lundi. Photo : Bonnie Cash/Getty Images

Les menaces de rĂ©pression gouvernementale pĂšsent sur Google et ses pairs du secteur technologique depuis des annĂ©es. Cela n’a pas eu d’effet notable sur leur dynamique commerciale ou sur l’attrait des investisseurs ; les capitalisations boursiĂšres combinĂ©es d’ Apple AAPL -0,12 %diminution; triangle rouge pointant vers le bas, Microsoft MSFT 0,84 %augmenter; triangle vert pointant vers le haut, Amazon AMZN -0,27 %diminution; triangle rouge pointant vers le basAlphabet GOOGL , sociĂ©tĂ© mĂšre de Google 1,79 %augmenter; triangle vert pointant vers le hautet les plateformes Meta , sociĂ©tĂ© mĂšre de Facebook , ont totalisĂ© un peu plus de 12 000 milliards de dollars Ă  la fin du mois de juin, soit une hausse de 146 % par rapport au dĂ©but de 2020. C’est plus du double de la performance du S&P 500 au cours de cette pĂ©riode.

Opt OutShare price and index performance, last 12 monthsSource: FactSet

Oct. 2023’24-30-20-1001020304050%AmazonAppleMicrosoftS&P 500 Equal Weight​IndexAlphabet

Mais la sociĂ©tĂ© mĂšre de Google a rĂ©cemment fait une percĂ©e. L’action d’Alphabet a chutĂ© de prĂšs de 14 % depuis le dĂ©but du trimestre en cours, une baisse notable mĂȘme par rapport Ă  d’autres grandes valeurs technologiques qui ont glissĂ© au cours de cette pĂ©riode en raison de la dynamique de rotation du marchĂ© et des inquiĂ©tudes croissantes concernant les investissements dans l’intelligence artificielle .

Microsoft et Amazon, les plus proches concurrents de Google dans le domaine de l’intelligence artificielle et du cloud computing, ont vu leurs cours boursiers chuter de prĂšs de 4 % chacun ce trimestre. Et avec environ 19 fois les bĂ©nĂ©fices futurs, Alphabet est Ă©galement la seule action technologique Ă  mĂ©gacapitalisation qui se nĂ©gocie Ă  un prix infĂ©rieur au S&P 500 sur cette mesure, selon les donnĂ©es de FactSet. Apple, Microsoft, Amazon, Meta et le titan des puces d’intelligence artificielle Nvidia NVDA -0,03 %diminution; triangle rouge pointant vers le basen moyenne 31 fois les bĂ©nĂ©fices projetĂ©s.

Wall Street reste relativement optimiste quant Ă  l’action Google : 78 % des analystes Ă©valuent l’action Alphabet Ă  l’achat, selon FactSet. Mais les analystes ont rĂ©cemment constatĂ© un changement de ton notable concernant les dĂ©fis rĂ©glementaires auxquels l’entreprise est confrontĂ©e.

Penalty BoxShare/Index price as a multiple to projected earnings, excluding net cashSource: FactSet. WSJ Calculations

AmazonNvidiaMicrosoftAppleNasdaq CompositeMeta PlatformsS&P 500Alphabet0510152025303540

« À la marge, nous sommes plus prudents sur les actions de Google », a Ă©crit Mark Mahaney d’Evercore ISI dans un rapport lundi, prĂ©voyant une « incertitude significative » pour les 12 prochains mois. Mark Shmulik de Bernstein a Ă©crit plus tĂŽt ce mois-ci qu’« il est difficile d’imaginer que Google sorte indemne de la bataille ».

Les enjeux des deux affaires ne sont pas exactement Ă©gaux. Le procĂšs en matiĂšre de technologies publicitaires vise une entreprise qui a gĂ©nĂ©rĂ© environ 20 milliards de dollars de revenus en 2020, selon les documents dĂ©posĂ©s dans le dossier, soit environ 11 % du chiffre d’affaires total d’Alphabet cette annĂ©e-lĂ . Mais prĂšs des trois quarts de cette somme ont Ă©tĂ© partagĂ©s avec les partenaires de Google sous forme de coĂ»ts d’acquisition de trafic, ce qui en fait une activitĂ© bien moins rentable que l’offre de recherche principale de l’entreprise.

Justin Patterson , de KeyBanc Capital, estime qu’une cession totale de l’ad-tech ne rĂ©duirait que de 1 Ă  2 % le bĂ©nĂ©fice par action d’Alphabet en 2025. Pourtant, Patterson affirme que Google dĂ©tient une « part de marchĂ© disproportionnĂ©e » dans ce secteur. « Nous pensons que c’est une Ă©preuve difficile Ă  gagner pour Google », a-t-il Ă©crit dans un rapport du 9 septembre.

Le gouvernement cherche à obtenir une ordonnance qui obligerait Google à se séparer de ses services de technologie publicitaire dans le deuxiÚme cas. Photo : Stephanie Scarbrough/Associated Press

L’affaire de la recherche pourrait ĂȘtre encore plus dommageable . Google verse depuis longtemps des milliards de dollars par an Ă  Apple pour ĂȘtre l’option de recherche par dĂ©faut sur les appareils mobiles d’Apple. Le jugement du mois dernier a rĂ©vĂ©lĂ© que cet accord et d’autres similaires ont limitĂ© la concurrence sur le marchĂ© de la recherche, oĂč Google dĂ©tient depuis longtemps une part mondiale de plus de 90 %, selon Statcounter. Parmi les sanctions que le gouvernement chercherait Ă  obtenir figure celle de forcer Google Ă  se sĂ©parer de son systĂšme d’exploitation mobile Android et de son navigateur Chrome.

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Pensez-vous que l’action de Google reflĂšte la possibilitĂ© d’un dĂ©mantĂšlement forcĂ© par le gouvernement ? Rejoignez la conversation ci-dessous.

La plupart des analystes doutent de cette issue, Ă©tant donnĂ© qu’aucun des deux ne fonctionne rĂ©ellement de maniĂšre autonome. Mais d’autres sanctions sont possibles, comme l’interdiction pour Google de payer des sociĂ©tĂ©s comme Apple pour un placement de recherche privilĂ©giĂ©, ce qui pourrait ouvrir la porte Ă  des concurrents comme le moteur Bing de Microsoft pour obtenir ces emplacements. « Nous pensons que le statu quo n’est plus possible, et nous nous attendons Ă  ce que le juge dĂ©cide d’une solution qui sera punitive pour Google », a Ă©crit Doug Anmuth de JP Morgan dans un rapport du 3 septembre.

Mais l’issue du procĂšs ne sera pas claire avant un certain temps, car le juge qui prĂ©side cette affaire n’a pas l’intention de rendre sa dĂ©cision sur les recours avant aoĂ»t prochain. Et Google fera presque certainement appel de toute dĂ©cision dĂ©favorable, ce qui pourrait bloquer l’affaire pendant au moins un an. Cela donne Ă  l’entreprise tout le temps nĂ©cessaire pour renforcer ses activitĂ©s et planifier de multiples issues, mais cela pourrait Ă©galement signifier une longue pĂ©riode de sursis pour l’action. La seule certitude pour Google Ă  ce stade est que rien ne sera certain avant un bon bout de temps.

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L’action Nvidia augmente aprĂšs que la direction a dĂ©clarĂ© que Blackwell Ă©tait en rupture de stock pendant 12 mois

Une sĂ©rie de gains rĂ©cents a permis Ă  Nvidia de se rapprocher de son record de clĂŽture - ajustĂ© des fractionnements d’actions - d’environ 135 $, atteint en juin.

Par

Adam Clark et

Tae-Kim

Mise Ă  jour le 10 octobre 2024 Ă  12 h 33 HE / Original le 10 octobre 2024 Ă  7 h 00 HE

Les puces de Nvidia sont le choix privilĂ©giĂ© pour la formation des systĂšmes d’intelligence artificielle.

Le temps des rĂȘves

Les actions de Nvidia sont en hausse jeudi aprÚs que la direction a déclaré que la demande pour son GPU Blackwell de nouvelle génération était forte.

Dans une note publiĂ©e jeudi, Joe Moore, analyste chez Morgan Stanley, a dĂ©clarĂ© que son entreprise avait accueilli cette semaine le PDG de Nvidia, Jensen Huang, et d’autres membres de l’équipe de direction de la sociĂ©tĂ© pour une sĂ©rie de rĂ©unions avec des investisseurs. L’analyste a dĂ©clarĂ© que les dirigeants ont rĂ©vĂ©lĂ© que les produits GPU Blackwell de Nvidia sont « rĂ©servĂ©s pour 12 mois », ce qui signifie que si un client passe une commande aujourd’hui, il ne recevra pas le produit avant la fin de l’annĂ©e prochaine.

L’action Nvidia a progressĂ© de 1,5% Ă  134,67 dollars Ă  la mi-journĂ©e. Le titre a clĂŽturĂ© en baisse de 0,2% mercredi.

Une sĂ©rie de gains rĂ©cents a permis Ă  Nvidia de se rapprocher de son record de clĂŽture (aprĂšs ajustement des fractionnements d’actions) d’environ 135 dollars, atteint en juin. L’accent reste mis sur la croissance des revenus de ses centres de donnĂ©es , alimentĂ©e par des investissements dans la technologie de l’IA.

Les analystes d’UBS ont Ă©galement dĂ©clarĂ© que les donnĂ©es d’exportation publiĂ©es cette semaine par le ministĂšre des Finances de TaĂŻwan Ă©taient globalement cohĂ©rentes avec leur modĂšle d’augmentation de 15 % des revenus des centres de donnĂ©es de Nvidia au troisiĂšme trimestre par rapport au trimestre prĂ©cĂ©dent.

« Nous tenons à souligner que la croissance trimestrielle de TW [Taïwan] et de Nvidia a différé de prÚs de 15 % dans les deux sens ces derniÚres années, de sorte que les données ne sont pas définitives », a écrit Timothy Arcuri, analyste chez UBS.

Arcuri a une note d’achat et un objectif de cours de 150 $ sur l’action Nvidia.

L’attention se tournera bientĂŽt vers les perspectives de bĂ©nĂ©fices de la sociĂ©tĂ© pour le troisiĂšme trimestre, son rapport Ă©tant attendu le mois prochain.

« Nvidia a Ă©tĂ© le plus malmenĂ© la derniĂšre fois en raison de la crainte d’une baisse de la croissance de ses bĂ©nĂ©fices, mais en fait, les bĂ©nĂ©fices de Nvidia devraient toujours croĂźtre de plus de 80 % d’une annĂ©e sur l’autre. Si vous adoptez une vision optimiste, cela reste une croissance fantastique du BPA et elle est toujours bien plus rapide que celle de tous ses concurrents », a dĂ©clarĂ© Mark Malek, directeur des investissements chez Siebert .

Le pari nuclĂ©aire d’Amazon semble ĂȘtre un « changement radical »

Le gĂ©ant de la technologie verse un acompte sur un ensemble de nouveaux rĂ©acteurs nuclĂ©aires. Le nuclĂ©aire est « l’un des Ă©lĂ©ments clĂ©s de notre portefeuille Ă  l’avenir », a dĂ©clarĂ© le responsable du cloud de l’entreprise.

Par

Avi Salzman

Mis Ă  jour le 16 octobre 2024 Ă  12 h 20 HE / Original le 16 octobre 2024 Ă  9 h 07 HE

ModÚle SMR à énergie X

Avec l’aimable autorisation d’Amazon

Amazon mise tout sur l’énergie nuclĂ©aire.

Le gĂ©ant de la technologie va verser un acompte sur un ensemble de nouveaux rĂ©acteurs nuclĂ©aires dans l’État de Washington qui pourront alimenter ses centres de donnĂ©es et d’autres foyers et entreprises de la rĂ©gion, a annoncĂ© mercredi l’entreprise. Amazon.com va Ă©galement prendre une participation dans une nouvelle entreprise nuclĂ©aire et Ă©tudier la possibilitĂ© de financer une centrale nuclĂ©aire distincte en Virginie.

« Nous sommes trĂšs optimistes quant Ă  cette technologie », a dĂ©clarĂ© Matt Garman, PDG d’Amazon Web Services, dans une interview accordĂ©e Ă  Barron’s . « Nous pensons qu’il s’agit de l’un des Ă©lĂ©ments clĂ©s de notre portefeuille Ă  l’avenir, alors que nous Ă©voluons vers une Ă©nergie entiĂšrement propre. »

Les actions d’Amazon chutaient d’environ 1% en dĂ©but de sĂ©ance, mais les investisseurs nuclĂ©aires Ă©taient clairement optimistes. Les actions des dĂ©veloppeurs de petits rĂ©acteurs nuclĂ©aires modulaires ont grimpĂ© en flĂšche Ă  la suite de cette nouvelle. Oklo , un dĂ©veloppeur de petits rĂ©acteurs nuclĂ©aires soutenu par le PDG d’OpenAI, Sam Altman, a augmentĂ© de 28% mercredi. Nuscale , un autre dĂ©veloppeur cotĂ© en bourse, a augmentĂ© de 35%. Le producteur d’uranium Cameco a augmentĂ© de 7%.

L’annonce d’Amazon est le dernier signe en date que les grandes entreprises technologiques se tournent vers le nuclĂ©aire pour rĂ©soudre un problĂšme croissant de leur secteur : concilier leurs Ă©normes besoins en Ă©lectricitĂ© avec leurs engagements en matiĂšre de climat. Google et Microsoft , filiale d’ Alphabet , ont Ă©galement annoncĂ© leur intention de financer de nouvelles centrales nuclĂ©aires, et Amazon a conclu un accord avec Talen Energy pour acheter directement de l’électricitĂ© Ă  une centrale nuclĂ©aire de Pennsylvanie.

Les gĂ©ants de la technologie cherchent des moyens de sĂ©curiser l’alimentation de leurs centres de donnĂ©es, qui consomment beaucoup plus d’électricitĂ© Ă  mesure qu’ils dĂ©veloppent des applications d’intelligence artificielle. Les entreprises ont dĂ©clarĂ© vouloir rĂ©duire leur empreinte carbone pour ralentir le rĂ©chauffement climatique, et leurs dirigeants pensent que le nuclĂ©aire est la solution. Les centrales nuclĂ©aires n’émettent pas de carbone et fonctionnent en continu, contrairement aux ressources solaires et Ă©oliennes intermittentes.

Les principaux obstacles Ă  l’adoption du nuclĂ©aire sont la longue durĂ©e de construction des rĂ©acteurs (aucun des rĂ©acteurs financĂ©s par Amazon ne sera terminĂ© avant 2030) et leur coĂ»t Ă©levĂ©. Un gros rĂ©acteur de 1 000 mĂ©gawatts coĂ»tera probablement plus de 10 milliards de dollars, et le dernier lot de rĂ©acteurs a dĂ©passĂ© le budget prĂ©vu d’environ 20 milliards de dollars. Les compagnies d’électricitĂ© ont jusqu’à prĂ©sent hĂ©sitĂ© Ă  construire de nouveaux rĂ©acteurs nuclĂ©aires Ă  cause de ces facteurs. Seuls trois ont Ă©tĂ© construits depuis 2000.

Les besoins en Ă©lectricitĂ© d’Amazon augmentent rapidement aujourd’hui, car l’entreprise investit massivement dans le dĂ©ploiement de l’IA. Selon Garman, les rĂ©acteurs nuclĂ©aires ne rĂ©soudront peut-ĂȘtre pas ces besoins Ă  court terme, mais Amazon « investit Ă  la fois Ă  court et Ă  long terme ».

« Je les prendrais aujourd’hui si la technologie existait, mais ce n’est pas le cas », a-t-il dĂ©clarĂ©.

« Je pense que si l’on regarde les 20 Ă  30 prochaines annĂ©es, les besoins en Ă©lectricitĂ© de notre pays et du monde ne feront qu’augmenter », a-t-il ajoutĂ©. « Nous adoptons une vision Ă  long terme et nous pensons que le nuclĂ©aire est l’un de ces Ă©lĂ©ments essentiels. »

Dans l’État de Washington, Amazon s’associe Ă  un consortium de services publics, connu sous le nom d’Energy Northwest, pour contribuer au financement du dĂ©veloppement, de l’octroi de licences et de la construction de quatre petits rĂ©acteurs nuclĂ©aires d’une capacitĂ© totale de 320 mĂ©gawatts, soit suffisamment pour alimenter environ 200 000 foyers. Ils seront situĂ©s dans la zone de la centrale nuclĂ©aire de Columbia Generating Station Ă  Richland, dans l’État de Washington, qui dispose dĂ©jĂ  d’un rĂ©acteur traditionnel. Amazon aura le droit d’acheter l’électricitĂ© des nouveaux rĂ©acteurs, mais ils seront dĂ©tenus et exploitĂ©s par Energy Northwest. L’accord pourrait conduire Ă  l’installation de huit petits rĂ©acteurs supplĂ©mentaires sur le site, pour un total de 960 mĂ©gawatts, soit suffisamment pour alimenter environ 700 000 foyers.

Les rĂ©acteurs seront construits par X-energy, une sociĂ©tĂ© privĂ©e du Maryland qui travaille sur des rĂ©acteurs avancĂ©s, censĂ©s ĂȘtre moins chers et plus efficaces que les modĂšles actuels. C’est l’une des nombreuses entreprises qui cherchent Ă  construire de petits rĂ©acteurs modulaires. X-energy n’a pas encore obtenu l’approbation de sa conception par la Commission de rĂ©glementation nuclĂ©aire, mais a obtenu un financement fĂ©dĂ©ral et d’autres accords commerciaux, notamment avec l’entreprise chimique Dow. Il n’existe pas encore de petits rĂ©acteurs modulaires aux États-Unis, mais plusieurs entreprises y travaillent.

Les termes financiers de l’accord avec Amazon n’ont pas Ă©tĂ© dĂ©voilĂ©s. Mais le fait qu’Amazon investisse de l’argent en amont dans les rĂ©acteurs, au lieu de s’engager simplement Ă  acheter l’électricitĂ©, est un Ă©vĂ©nement trĂšs important, a dĂ©clarĂ© le PDG de X-energy, J. Clay Sell, dans une interview.

« Le fait qu’une entreprise de la taille d’Amazon se dĂ©clare prĂȘte Ă  investir des centaines de millions de dollars dans la construction de nouvelles centrales nuclĂ©aires est un changement radical », a dĂ©clarĂ© M. Sell. « Je pense que cela nous met vraiment sur la bonne voie pour commercialiser cette technologie. »

Amazon dirigera un tour d’investissement en actions de 500 millions de dollars dans X-energy, qui comprend Ă©galement des investisseurs comme le PDG de Citadel, Ken Griffin, des filiales d’Ares Management Corp. et la dotation de l’UniversitĂ© du Michigan.

Amazon envisage Ă©galement d’investir dans le nuclĂ©aire en Virginie. Dominion Energy , une sociĂ©tĂ© de services publics basĂ©e en Virginie, envisage d’ajouter de la puissance nuclĂ©aire Ă  une centrale existante le long de la riviĂšre North Anna, dans le comtĂ© de Louisa, en Virginie. Dominion a dĂ©clarĂ© qu’elle s’attendait Ă  ce que la demande d’électricitĂ© double en Virginie, oĂč se trouvent plus de centres de donnĂ©es que partout ailleurs dans le monde, au cours des 13 prochaines annĂ©es. Amazon et Dominion Ă©tudieront l’idĂ©e d’y construire de petits rĂ©acteurs modulaires.

X-energy n’est pas encore cotĂ©e en bourse, mais Sell a dĂ©clarĂ© que la sociĂ©tĂ© envisageait de rejoindre les marchĂ©s publics Ă  terme. Il existe quelques autres moyens de tirer parti de la croissance des petits rĂ©acteurs modulaires, notamment en investissant dans les dĂ©veloppeurs Oklo et Nuscale ou dans d’autres sociĂ©tĂ©s de technologie nuclĂ©aire comme BWX Technologies, GE Vernova et Centrus Energy. Barron’s a explorĂ© cette tendance .

Le fait que les actions nuclĂ©aires aient toutes progressĂ© mercredi montre que l’accord avec Amazon est un « point d’inflexion important pour l’industrie nuclĂ©aire », selon Paul Dotson, directeur gĂ©nĂ©ral des opĂ©rations sur actions chez TD Cowen. « La cohorte nuclĂ©aire, qui est composĂ©e de diffĂ©rents types d’entreprises (services publics, uranium, rĂ©acteurs, SMR), ne se nĂ©gocie gĂ©nĂ©ralement pas Ă  l’unisson (bases d’actionnaires diffĂ©rentes, considĂ©rations de facteurs). Cela commence Ă  changer Ă  mesure que de plus en plus d’accords sont annoncĂ©s avec des leaders d’opinion mondiaux. »

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C’est fou de se dire qu’en France, si ça avait Ă©tĂ© un Stellantis ou un Sanofi tout le monde aurait criĂ© au scandale