Portefeuilles de Yerhal

Bonjour a toutes et tous.

Après de nombreux mois a roder sur le forum tout en restant dans l’ombre, je vous partage mes portefeuilles : PEA / PEA-PME / et une position d’air liquide en nominatif pur (pas opti je sais mais c’est … compliqué)
Il y en a pour tous les gouts dedans, de la petite et de la grosse, de la pépère et de la vénère, et même un petit ETF pour quand je ne sais pas quoi acheter (avec des vrais morceaux de suisse dedans). Certaines de mes positions sont extrêmement rares sur ce forum (mais copiez pas hein :stuck_out_tongue: )

J’y investi environ 500€ par mois, et je vais tenter de faire un suivi mensuel (si j’y pense, c’est pas gagné)

Dans mon viseur sur PEA :

  • entrer sur Total et Saint Gobain mais pas au prix actuels,
  • renforcer ma ligne Basler AG quand le PER pĂ©tĂ© aura un peu dĂ©gonflĂ©,
  • reprendre du LVMH mais la aussi j’attends une respiration.

Sur PEA-PME :

  • ouvrir des lignes sur moulinvest et BE semiconductor (quand je l’alimenterai un peu en liquiditĂ©s, mais pour l’instant pas ma prioritĂ©)

Ajout du CTO le 18/08/2023 :

Salut… très européen ton pea là où beaucoup préfère s’arrêter sur les actions françaises… certainement à cause du prélèvement à la source non récupérable sur pea sur les actions étrangères…

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Je suis d’accord avec fab.j, les actions non francaises dans le PEA, ce n’est pas optimisé d’un point de vue fiscal (prélèvement à la source non récupérable).

Avoir air liquide en nominatif pur, ça ne me choque pas car ca te permet de garder de l’espace dans ton PEA pour d’autres investissements.

A vrai dire mes actions non françaises sont des actions sur lesquelles j’anticipe une forte croissance et pour lesquelles je n’ai pas d’équivalent (dans les chiffres ou secteurs) coté français.
Le dividende est dans ce cas pour moi un point mineur puisque je vise la plus-value dessus, e n’irais par contre pas chercher une entreprise de rendement hors france en effet, la perte serai trop importante.

Petite mise a jour rapide, les choses bougent pas mal de mon coté, je vais d’ici la fin du mois de février/début mars entamer le transfert de mon PEA (pour des histoires de gros sous of course)

Afin de réduire au maximum le temps de transfert je vais solder pas mal de lignes et reconcentrer les restantes dans les prochaines semaines (en priorité celles proches de mon PRU et/ou les résultats annuels ont été annoncés, faciles a racheter après le changement si le cours n’a pas trop bougé).

J’ai commencé dès aujourd’hui avec la sortie de STM et le renfort de ma ligne Alfen.

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J’aime bien tes portefeuilles, beaucoup de valeurs européenne.
Comment les sélectionne-tu ?
Je vois que tu change de PEA, tu Ă©tais chez quel courtier ?

Mon PEA était jusqu’ici détenu dans ma banque (BNP), mais avec des frais négociés auprès du directeur de l’agence (un bon ami de la famille) pour être alignés avec les frais des courtiers en ligne.
Malheureusement il est parti a la retraite en janvier, et l’on m’a bien fait comprendre que je pouvais a présent me brosser pour les frais. J’ai prévenu que si la banque me facturais le moindre frais de garde c’était finito pour moi (car face a la concurrence en ligne, BNP c’est la préhistoire hein). Frais qui devraient tomber sous peu, tout comme mon départ.

La sélection de valeur hors gros noms du cac est en général assez laborieuse.
Je veux des entreprises :

  • positionnĂ©es sur des secteurs porteurs sur les prochaines annĂ©es (Ex : Nemetschek pour la numĂ©risation des mĂ©tiers du BTP / Steico et Scuiker frames pour la rĂ©novation Ă©nergĂ©tique et Ă©cologique / Basler pour les besoins toujours croissants d’optiques (camĂ©ras de surveillance, automatisation des chaines d’usines …))
  • avec des finances saines (obligatoirement rentables / dette faible / pas de marge nette trop faible)
  • avec des bonnes politiques de retour a l’actionnaire (dividendes, rachats d’actions…), tout en restant facilement soutenables, et croissants dans le temps (si possible, car beaucoup de ses entreprises sont encore « jeunes », il y a donc un manque de recul)
  • mais avec des capitalisations suffisamment faibles pour pouvoir se dĂ©multiplier avec le temps.
  • tout en restant a l’écart de pas mal de secteurs qui ne me plaisent pas : finance, immobilier, constructeurs d’a peu prĂŞt tous les vĂ©hicules (a part les yachts privĂ©s bien sur :smile:)

Ces recherches me prennent très longtemps mais je suis satisfaits des entreprises sélectionnées … j’ai aussi quelques cibles au danemark ou en suède mais impossible de les acheter via mon courtier actuel (autre point de désaccord)

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Aurait-tu des vues sur CATANA :thinking:?

J’ai une préférence pour les constructeurs italiens : italian sea group et san lorenzo … ces 2 valeurs sont dans les yachts et megayachts.
Si je devais en prendre une en France, je préfère Fountaine Pajot a Catana ou Beneteau. :slightly_smiling_face:

J’ai profite pour dire que, comme annoncé j’ai purgé une bonne partie de mes lignes (notamment étrangères) pour un transfert le plus rapide possible. Je suis actuellement a 8 lignes, et je lance la procédure en fin de semaine si la bourse ne poursuit pas sa correction amorcée vendredi dernier.

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Transfert de compte achevé, il est temps de se remettre au travail.

Du côté du PEA-PME pas beaucoup de mouvement, je suis entré sur une dizaine de titres moulinvest et j’ai renforcé de 10 titres piscines desjoyaux

Coté PEA par contre …
du-passe-faisons-table-en-marbre

J’étais sorti de nombreuses lignes pour faciliter le transfert, une seule fera son retour pour l’instant (pas que les sociétés étaient mauvaises mais je profite du changement pour corriger la direction du portefeuille).
Mon portefeuille accentue sa transition vers les valeurs de croissance en abandonnant sa dernière grosse société de rendement.
Le changement de courtier (passage chez BforBank) élargi considérablement mon horizon d’investissent via PEA… comme je souhaitais le faire depuis un moment, je vais intégrer plusieurs valeurs nordiques au portefeuille, et opérer une diversification de mes devises détenues.

Les mouvements en question :

  • Vente de Rubis en lĂ©gère plus value (plus les dividendes reçus prĂ©cĂ©demment), pas une mauvaise sociĂ©tĂ© mais je prĂ©fère aller allouer cette somme a des entreprises en croissance effective, plutĂ´t que d’attendre un hypothĂ©tique retournement du cours.

  • Renforcement des lignes ayant survĂ©cus a la purge : LVMH / L’OrĂ©al / Schneider / Vinci / Sartorius / ASML / Alfen (qui devient la première ligne de mon portefeuille)

  • Retour sur Eurofins Scientific (16 titres), vendu avant transfert (avant rĂ©sultats) en pensant pouvoir revenir avec un PRU plus faible, petit pari rĂ©ussi.

  • Achat de Essilor Luxottica, (9 titres) => j’aime le cotĂ© santĂ© et consommation discrĂ©tionnaire a la fois.

  • Achat de Euronext (13 titres) => de la finance mi croissance mi rendement avec de belles perspectives selon moi

  • Achat NXP Semiconductors ( 7 titres) => très bonne boite de semi-conducteurs, achetĂ©e en dollar sur le nasdaq (avec des frais plus Ă©levĂ©s donc) pour amener du dollar dans mon portefeuille.

  • CotĂ© Danemark : achat de Novozymes (enzymes et micro-organismes industriels) (22 titres) et de ChemoMetec ( instruments de comptage et d’évaluation cellulaires) (20 titres).
    2 belles boites de croissance, je reste a l’écart de ce qui verse trop de dividende coté Danemark car aucune convention fiscale avec la france.
    Achats effectués en DKK, mais cela ne fait pas vraiment de différence vu que la couronne danoise est liée a l’euro par traité.

  • CotĂ© Suède je suis rentrĂ© sur Evolution Gaming (8 titres), les chiffres sont impressionnants, a voir si la boite peut maintenir le rythme. Petite exposition par ce biais a la couronne suĂ©doise.

  • CotĂ© Norvège enfin, entrĂ©e sur Borregaard (biomatĂ©riaux, biochimie, biocarburant) (67 titres), sociĂ©tĂ© peu connue avec de très bon chiffres et un secteur qui bĂ©nĂ©ficiera de plus en plus des politiques europĂ©ennes. Comme pour les autres valeurs nordiques, exposition par ce biais a la couronne norvĂ©gienne.

Voila j’en ai fini avec mon pavé (pour l’instant seulement, car 5-6 nouvelles lignes monteront bientôt a bord du navire pour arriver a une vingtaine)

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Dernière phase de renforcement cette semaine, pas mal d’achats coté tech et santé … les effets du covid et de la politique monétaire très souple qui ont suivi semblent finir de se purger des cours.

Je rentre a nouveau 5 lignes, dont 4 en zone nordique, pour arriver dans ma zone de confort des 20-25 :

Addlife (115 titres)
Bouvet (177 titres)
Musti Group (59 titres)
Qt Group (14 titres)
Dassault systemes (26 titres)

J’ai également largement renforcé ma ligne Sartorius Stedim Biotech de 9 titres après les mauvaises annonces de résultats.

Voila qui clôture mon transfert et ma phase de réinvestissement, je garde bien sur quelques liquidités en cas de belle opportunité, et reprend mon investissement de 500€ par mois dessus.

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Petit point mensuel sur les portefeuilles.

Coté PEA-PME rien de sensationnel avec achat de 4 actions Poujoulat.

Achat de 4 actions Air Liquide histoire de génocider mon PRU, celui-ci reste tout de même de 82,48 :stuck_out_tongue_winking_eye:

Sur le PEA j’ai renforcé de 2 Euronext et de 5 Alfen.
En regardant la publication d’Alfen de près, je la trouve vraiment pas mal même si celle-ci peut faire peur au premier regard (rien a voir avec celle de Sartorius que j’ai trouvée dégueulasse de bout en bout). Je pense en prendre 5 de plus en Juin.

Mais le principal évènement du mois est ma lecture quasi-finie d’un livre qui trouve beaucoup d’écho en moi, j’ai l’impression de voir couché sur papier ma vision actuelle de l’investissement mais poussée a l’extrême :

Bourse : seuls les meilleurs gagnent (Les 10 règles d’or pour des rendements à long terme avec un risque minime) ou dans sa version d’origine plus parlante sur le propos de fond : Only the Best Will Do (The compelling case for investing in quality growth businesses) par Peter Seilern.

Plus je lis, et plus je me dis que je devrais pousser a fond les curseurs économiques fondamentaux pour me concentrer a 100% sur la stratégie « Quality Growth » déja sous-jacente dans mon portefeuille … néanmoins cela ferai pas mal bouger les lignes, la méthodologie développée par Seilern passe par une approche en 10 règles qui filtrent très fortement les entreprises. A titre d’exemple sur les milliers d’entreprises analysées celui-ci n’en gardait qu’environ 60 comme acceptables a l’investissement.
En poussant mes recherches sur les critères les plus importants de sa stratégie notament le payout ratio, la dette et le ROIC j’ai découvert certaines très belle sociétés et en ai redécouvert d’autres sous un nouvel angle.
J’ai également commencé a aller fouiller dans les documents publiés par son fond d’investissement.
Bref cette lecture me donne beaucoup a penser et je devrais arriver au bout ce week end.

France President GIF

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Cette sortie ! :smiling_face_with_three_hearts: :+1:

Intéressant ta lecture du moment :slight_smile:
Je t’avoue que le titre un peu accrocheur me laisse circonspect ^^
Il se base uniquement sur des critères et ratios financiers ?
Est-ce qu’il va plus loin que de donner simplement des valeurs « seuils » à viser ?
Y’a du recul sur sa méthode ? Des contre-exemples ?
:slight_smile:

Je suis d’accord que le titre en version française est un peu putassier, c’est pour cela que j’ai mis la version originale également :slight_smile:

A la base c’est typiquement le genre de titre qui me fait fuir, mais il m’a été recommandé par une bonne amie qui travaille dans la finance avec qui je discute pas mal bourse, et qui m’a conseillée de regarder un peu du coté de Peter Seilern après que nous ayons discuté de Terry Smith et de son livre : Investing for Growth: How to make money by only buying the best companies in the world.

Les choix de Seilern se basent uniquement sur des critères fondamentaux, pas mal de chiffres mais aussi des facteurs plus durs a évaluer comme le management et la gouvernance.

Il ne donne aucune valeur « seuils » a viser, il détaille ses règles d’investissement et explique pourquoi celles-ci sont plus importantes que d’autres a ses yeux mais a aucun moment il ne va dire par exemple « Visez 12% de marge nette ».
Il va également expliquer pourquoi il utilise sa stratégie plutôt qu’une approche growth plus classique ou value.

J’aime bien son approche d’intrensigence sur la qualité des actions qu’il met en portefeuille, ce qui induit d’acheter souvent a de très hauts niveaux de valorisation (hors krach).
En fait pas mal de gens appliquent ses règles, juste de façon moins exigente que lui.

Je mettrais bien quelques citations du livre mais j’ai peur de mettre des pièces dans le Jukebox si je commence a parler « du mirage du rendement des dividendes » ou du « recalage automatique du secteur pétrole et gaz » :sweat_smile:

Pour ce qui est des performances, son fond principal le « Seilern World Growth » superforme très largement le World Total Return que ce soit sur 5 ans, 10 ans ou depuis son lancement il y a plus de 20 ans.

Pas de contre exemple non mais des avertissement sur sa méthode par contre, notamment sur le fait que celle-ci ai besoin de temps long pour porter ses fruits et sur une volatilité potentielle très forte du fait des hauts niveaux de valorisation appliqués aux actions qu’il recherche.

Ooooouhhh ça me plaît beaucoup tout ça !! Tu attises ma curiosité… Hop watchlist amazon :joy:
Merci pour cette découverte :ok_hand::ok_hand:

Stressed Chill Out GIF by True and the Rainbow Kingdom

Dans le plus grand des calmes je viens de rentrer une action Lotus Bakery aujourd’hui, quelques lignes ont été abattues sans sommation :skull:

This Is Fine GIF

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Gros point mensuel, plus tôt que prévu car la sortie de Diablo 4 me ramène aux heures les plus sombres de mon histoire :sweat_smile: et va avoir raison de ma vie sociale pour quelques mois :), courage aux gens qui liront le pavé.

Fort de plusieurs lectures récentes sur le « quality growth investment » je décide d’appliquer une nouvelle grille de sélection plus sévère a mes actions.
J’ai dont passer tout le portefeuille en revue point de vue chiffres mais je me suis aussi posé a chaque fois 2 questions :
Suis je prêt à renforcer si la position chute de 50% et Suis je prêt a renforcer si la position monte de 100% ? Le « non » montrant un manque de confiance sur l’entreprise.
Même si je n’aime pas procéder ainsi je me fixe une limite pour le moment a 2 entreprises par secteur, limitant mon syndrome Pokémon a toutes vouloir les attraper :slight_smile:

Consomation Courante :

Je garde l’Oréal, l’entreprise est ultra solide sur tous les aspects.
J’ai entré 1 action Lotus Bakeries, profitant de sa légère baisse en mai pour entrer un peu en dessous des 6000. C’est un peu intimidant a acheter mais le titre a quasiment pris 1000€ juste après mon achat, cela fait du bien au moral.
Concernant la société, les chiffres sont excellents, notamment des marges élevées et surtout stables pour le secteur.
Lotus est en pleine phase d’internationalisation, se construit une image « premium » notamment aux US et devrait connaitre une bonne croissance sur les prochaines années.

Matériaux :

Je reste investi sur mes 2 entreprises actuelles : Novozymes (spécialiste des enzymes industrielles) et Borregaard (bioraffinerie).
Je suis néanmoins très attentif a la fusion a venir entre Novozymes et Chr. Hansen, ce ne serai pas la première fois que ce genre d’opération met a mal des entreprises plutôt que les renforcer.
Je triche sur ma règle et garde Air liquide a coté, mais elle n’est pas sur PEA donc je suis bon :stuck_out_tongue:

Technologie :

Typiquement un secteur dans lequel j’aime attraper tous les pokémons qui croisent ma route. C’est pour cela que je me suis posé ma limite de 2 par secteurs.
Heureusement mes 2 élus sont déjà en protefeuille, je garde donc Dassault Systèmes et ASML.
NXP semiconductors, Qt group et Bouvet sont donc poussés vers la sortie avec une plus value globale d’environ 5%
Chemometec a également été vendue, bien que celle-ci ai failli renter dans le top 2, les chiffres sont excellents tout comme les perspectives. Néanmoins j’ai du mal a cerner la taille réelle du marché sur lequel l’entreprise peut s’étendre et donc maintenir sa croissance a long terme. Je sors avec 30% de bénéfice.

Consommation Discrétionnaire :

Grand ménage de ce coté.
Je décide de vendre LVMH pour le remplacer par Hermes. La société coche plus mes nouveaux critères (mais LVMH est incroyable aussi, pas taper hein :)), j’envisage un temps de prendre les 2 en portefeuille mais quel intérêt, il est très probables que celles ci montent et tombent ensemble.
Evolution et Musti Group laissent quand a elles leur place a Inditex (notamment maison mère de Zara)
Inditex est une société que je n’avais jamais regarder de près, mais nom de Zeus les chiffres sont incroyables et surtout j’ai découvert le Moat de la société, pas facile a voir sans s’intéresser de plus près a son business et a sa logistique.

Industrie :

Autre secteur dans lequel j’aime collectionner les entreprises, l’arbitrage y a été d’autant plus dur.
Choix cornélien entre garder Alfen et Schneider, d’un coté la « jeune » société dans lequel je vois un brillant avenir et de l’autre le géant du secteur dont la qualité fait ses preuves années après années.
Je fais le choix des convictions au prix de la sécurité en vendant Schneider avec une belle plus value.
Je prend également la décision de relâcher mes actions Vinci dans la nature, celles-ci trouveront facilement une nouvelle maison :upside_down_face:
Pour ma deuxième action j’achète Atlas Copco, le géant industriel suédois qui présente les chiffres les plus solides que j’ai pu voir dans l’industrie.

Santé :

Ici aussi la bataille fut rude.
Je décide de garder Sartorius Stedim Biotech, malgré des derniers chiffres décevants la qualité incroyable de la société ne saurai être effacée par les mauvais chiffres d’un trimestre. Je reste néanmoins vigilant. Addlife sort par conséquent du portefeuille, activité trop proche de Sartorius.
Je vend Essilor Luxottica et Eurofins Scientific, celles-ci ne peuvent rivaliser avec le nouvel entrant, le géant danois de l’insuline : Novo Nordisk

Je reste a l’écart de tout un tas de secteurs présentant de manière structurelle des défaillances sur mes critères notamment les marges, la dette, le capex et la transparence des comptes.
Par conséquent pas d’énergie, de finance, de communication, d’immobilier ou d’utilitaires.
Je décide de sortir de euronext (ma seule moins value de la liste des vendues) pour son manque de potentiel de croissance organique, toute croissance devra passer par la dette.

A l’issue de ce travail le portefeuille se ressert sur 12 valeurs et gagne en qualité globale. Toutes les lignes hormis euronext sont vendues dans le vert permettant d’engranger une bonne plus value.
L’objectif est désormais de renforcer les positions actuelles jusqu’a un seuil que j’ai fixé a environ 5000€ chacunes. A ce moment seulement je réfléchirai a entrer ou réintroduire certaines positions.
Je vais également verser une somme tous les mois sur mon livret A pour préparer de futurs renforcements sur Hermès et Lotus, compliqué de sortir la somme en une fois donc autant avoir quelques intérêts le temps de construire la poche.

Voila pour la tartine, je vais également retravailler le PEA-PME a terme mais celui-ci n’est pas ma priorité pour le moment, il me faudra bien sur des critères plus souples au vu du profil des entrerpises élligibles.
Je pose un lien sur le nouveau protefeuille et met a jour celui du premier post. :

Sur ce je retourne geeker sur diablo.

No Way Abandon Thread GIF

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J’avoue être aussi plus Hermès, que LVMH dans l’idée, mais faut en avoir dans le calbar quand même, vu le prix de la mémère… :sweat_smile:

Première fois que je mets un like alors que le gars vend du Vinci … :smirk:

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portefeuille au top, c’est aussi le style d’investissement que j’applique et qui est passionnant (chercher le top 10% parmi les meilleures entreprises).
Merci pour les lectures, j’en avais vite fait entendu parler mais tu m’as donné envie de passer à l’action (bon faut déjà que je termine « mémoires de crise » de l’ancien patron de la Fed, y en a pour 600 pages de finance pure :sweat_smile:)

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