Vivien, Coaching Bourse Long Terme

Oui et non au final,

1 : Tu prends des etf Ă  dividendes ^^
2 : Tu vends des parts de ton etf, tout simplement.

Je vais Ă©plucher ce document, mais Amen s’il peut enfin clarifier la situation pour moi :smiley:

Yes c’est pour ça que je regarde aussi les formations CIF en parallĂšle, pas forcĂ©ment comme un frein pour commencer, mais Ă  la fois pour se couvrir et dĂ©velopper d’autres activitĂ©s Ă©ventuellement; et aussi potentiellement « gagner en crĂ©dibilitĂ© Â» avec un « vrai Â» titre

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AprĂšs avoir Ă©pluchĂ© le document, j’en retiens plusieurs choses :

Il faut que ce soit :

  • des recommandations
  • personnalisĂ©es

Recommandation =/= fournir des informations (sur la base de données publiques)

Dire « Tesla a fait -12% car
 Â» : ok
Dire "Tesla a fait -12%, c’est le moment d’acheter je pense " : pas ok

Ils prĂ©cisent encore, et l’exemple au dernier paragraphe souligne bien l’aspect de prise en compte du profil, de la situation, etc
 du client pour faire une recommandation (prĂ©sentĂ©e comme adaptĂ©e Ă  cette personne)

Dans le premier paragraphe se trouve je pense la réponse à mon questionnement sur le fait de partager des avis sur les entreprises au public via le forum, newsletter, X, etc


Le 2e paragraphe me rassure aussi sur le caractĂšre « individuel Â» : parler avec une seule personne d’une entreprise, de ses caractĂ©ristiques, etc
 n’est pas un conseil en investissement.


Le paragraphe qui enfonce le clou et confirme les propose de @le_Petit_Actionnaire

Bref : document trĂšs instructif, qui me « rassure Â» dans le fait que cette activitĂ© ne devrait pas renter dans la catĂ©gorie de recommandations, le but pour l’instant n’étant pas de « s’occuper des portefeuilles Â» des clients mais de les aider Ă  mieux comprendre ce qu’ils font, ce que les entreprises font, ce que le marchĂ© fait, etc


Du coup si c’est simplement fournir une analyse sur la base de donnĂ©es publiques, mĂȘme en partageant des « juste prix Â» sur la base d’analyses DCF par exemple, ne constituerait pas un conseil d’aprĂšs moi, du moment que l’analyse reste « froide Â» et ne suggĂšre ni explicitement ni implicitement que acheter, vendre ou ne rien faire serait une bonne stratĂ©gie pour le client.

Vos avis?

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A priori, mais dans l’absolu il est toujours bon de prendre « une marge de sĂ©curitĂ© Â» quand mĂȘme. D’une part on est jamais Ă  l’abri d’une « mauvaise Â» interprĂ©tation d’autrui, et d’autre part, il y a aussi le risque de tomber sur un « dĂ©fenseur de la veuve et de l’orphelin Â» qui peut te pourrir ta rĂ©putation parce que « selon lui
 Â».

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Oui il semble bien que faire une « simple Â» analyse DCF pour un client ne soit pas du ressort du CIF.
Cependant, si c’est juste pour faire ça sans conseils personnalisĂ©s, quelle serait la valeur ajoutĂ©e de te prendre en coach ?
Le client a juste à suivre tes posts sur X, ce qui est gratuit


À mon sens l’intĂ©rĂȘt de ta dĂ©marche c’est d’accompagner tes clients, donc de faire du personnalisĂ©.
C’est vraiment l’idĂ©e du coaching pour moi
 C’est pour ça que comme LPA je te recommenderais de devenir CIF quand mĂȘme mais comme tu le sens ^

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+1 ca me semble indispensable pour Ă©viter de ce retrouver avec des procĂšs aux fesses de « concurrent Â».
Rassurant pour le client donc a prendre comme un investissement qui apportera de la « valeur ajoutĂ©e Â» a ton service.

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Ah mais je suis 100% raccord avec vous :slightly_smiling_face:

Je tenais juste Ă  distinguer l’aspect rĂ©glementaire / lĂ©gal pur, et l’aspect crĂ©dibilitĂ© / prĂ©voyance / Ă©viter les emmerdes en amont :sweat_smile:

Interagir avec ma belle gueule ? :sunglasses::grin:

Je comprends ton raisonnement, mais justement la cible premiĂšre ce serait ceux qui veulent comprendre ce qui se cache derriĂšre l’analyse DCF, expliquĂ©e simplement, puis pr exemple que EUX en fassent et qu’on voit ce sui va, ce qui va pas, comment on fait pour choisir les chiffres qu’on injecte/les hypothĂšses, etc


Donc en gros en posts X, newsletter, etc
 je donne le rĂ©sultat final, et en coaching /formation les clĂ©s pour faire la mĂȘme chose ou mieux

Pourquoi faire appel Ă  un coach/ un individu vs. apprendre seul sur internet ?

  • gain de temps : je m’en suis tapĂ© des vidĂ©os de Aswath Damodaran, de pleins d’autres personnes, lu encore et encore
 le but est de transmettre l’essentiel pour ceux qui n’ont par exemple pas forcĂ©ment le temps/l’envie d’y passer des jours

  • feedback : j’ai fait quelques analyses qui Ă©taient foireuses, si j’avais quelqu’un dĂšs le dĂ©part avec moi j’aurais pu les identifier immĂ©diatement, corriger, m’amĂ©liorer plus vite

Pour reprendre l’analogie sport : le coach peut te dire « fais ces exercices » mais aussi « je vais te montrer comment faire cet exercice correctement, et te corriger pour Ă©viter les blessures et que tu progresses plus vite » :blush:

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Sur le papier, pourquoi pas, je vois un premier problĂšme.

Quelle est la cible de ton produit ? parce que perso, je vois pas trop de cible prĂ©cise pouvant ĂȘtre intĂ©ressĂ©e par ton offre.

AprĂšs, c’est super carrĂ© au niveau de la façon de faire, et entre l’assurance spĂ©cifique, l’adhĂ©sion Ă  une association Pro certifiĂ©e (elles ne sont que 4 ou 5 !), mais aussi Ă©ventuellement des logiciels spĂ©cifiques, il faut compter Ă  minima 2 ou 3k€ de dĂ©penses /an rien que pour ce que je viens de citer.

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C’est ce que je cherche Ă  mieux dĂ©finir, mais je vois le profil type comme Ă©tant la personne faisant dĂ©jĂ  du stock-picking (ou voulant se lancer dedans), mais qui se sent perdu/n’a jamais vraiment cherchĂ© Ă  comprendre l’analyse qualitative & quantitative; qui se dit que les comptes de rĂ©sultats c’est un peu trop compliquĂ©, qui se demande toujours comment voir si un prix est « cher Â» ou non (au-delĂ  du PER qui est sĂ»rement LE seul critĂšre un peu populaire, pas sĂ»r que beaucoup de monde connaisse ne serait-ce que le PEG)


Quand je vois les questions (lĂ©gitimes !) que se posent les gens sur le forum, sur les rĂ©seaux sociaux, en discutant en personne avec des collĂšgues, etc
 Je me dis qu’il y a peut-ĂȘtre une demande potentielle : bien sĂ»r tout le monde n’a pas la mĂȘme approche de l’investissement en Bourse, ni n’a besoin d’accompagnement/de training; je ne suis qu’un humble investisseur particulier autodidacte, sans grand diplĂŽme en finances, mais avec une rigueur scientifique, toujours en quĂȘte de plus de compĂ©tences, avec une passion pour le coaching/l’enseignement, voulant aider les autres Ă  monter en compĂ©tences Ă©galement.

Je ne suis pas bornĂ©e sur cette activitĂ© : si la demande n’est pas lĂ , la plus belle offre s’étiolera. En fait le contenu est presque similaire Ă  de la formation en ligne, mais je me suis dit qu’il en existait dĂ©jĂ  tant que je ne suis pas sĂ»r de pouvoir apporter une rĂ©elle plus-value (peut-ĂȘtre que si, aprĂšs tout le syndrĂŽme de l’imposteur est clairement lĂ  :smiley: )

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Yes j’ai vu ça aussi

En fait, plus on en discute (et merci Ă  tous vraiment, c’est ce dont j’ai besoin !), plus j’ai l’impression que mon approche s’apparenterai plus Ă  de la « formation Â» (Ă©ducation) qu’à du coaching type « conseil Â» (pas sĂ»r que ce soit trĂšs clair, dites-moi).

Avec deux types de « services Â» :

  • je t’apprends Ă  analyser une entreprise Ă  partir des donnĂ©es publiques; pour ceux ayant le temps et l’envie de faire ça
  • je te fournis des analyses sur la base des informations publiques, aprĂšs avoir Ă©ventuellement fait une « formation express Â» pour que tu comprennes la terminologie et le contenu des analyses; pour ceux n’ayant pas le temps et/ou l’envie de passer des heures Ă  analyser des entreprises, mais souhaitant avoir accĂšs Ă  un « condensĂ© Â» des informations
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C’est exactement ce que je me dis de façon gĂ©nĂ©rale. Sur X / Twitter, tout le monde y va de sa Newsletter, de ses analyses, de ses lirves / ebooks, etc. J’ai vraiment tendance Ă  me dire que c’est archi bloquĂ© / concurrentiel et que cela demande(rait) un temps fou pour parvenir Ă  sortir du lot. Raison pour laquelle je m’oriente vers quelque chose qui sort de l’ordinaire.

J’avoue, ĂȘtre autodidacte, ça aide Ă©normĂ©ment
 En plus, le temps passant, ça permet de se dire qu’on fait Ă©normĂ©ment de choses par soi-mĂȘme. Par exemple aujourd’hui je sais publier un livre par moi-mĂȘme, crĂ©er mon propre site internet (pas au niveau d’un pro, mais quand mĂȘme), investir, etc. C’est juste Ă©norme. Et pour moi, tout ça, ça vaut vaut autant (= c’est aussi important) que toutes les plus-values du monde !
Bref
 je m’égare :sweat_smile:

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Okkkkk là ça se précise pas mal !!

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A priori les gens « perdus Â» sont ceux avec de petits budgets et n’auront que peu d’intĂ©rĂȘt rĂ©el de payer un accompagnement.

Payer 1000€ un coaching pour 10 000 a placer n’est pas du tout intĂ©ressant.

(je sors un chiffre au pif
 mais ca revient au mĂȘme) et ceux qui investissent plus de 100/200k Ă  mon avis ne seront pas intĂ©ressĂ©s par ton offre.

je reviens Ă  la question de la compĂ©tence et de la lĂ©gitimitĂ© : As-tu fait des Ă©tudes dans la finance ? As-tu fait de la comptabilitĂ© ? As-tu passĂ© vingt ans dans une grande banque Ă  gĂ©rer des actifs ? Qu’apporteras tu de plus que MoningBot ?

Je ne vois pas pourquoi tu serais plus lĂ©gitime et compĂ©tent que ma grand-mĂšre en l’état.

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C’est vrai, la question de la lĂ©gitimitĂ© se pose.
Il y travaille mais pour l’instant il n’a pas encore de certification reconnue par l’état.

Par contre je pense qu’il peut quand mĂȘme prouver sa valeur grĂące Ă  son Twitter et Ă  ses multiples interventions oĂč il apporte de la valeur ajoutĂ©e.

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Je pense justement que c’est un a priori : si je prends mon cas particulier, j’investis environ 1300€ par mois. Et je vois parfois des messages de personnes avec une capacitĂ© d’investissement plus grande encore, posant des questions qu’on pourrait considĂ©rer comme « bateau Â» Ă  propos d’entreprises dont le cours a chutĂ©, ou qui versent un Ă©norme dividende, ou qui se demandent si maintenant est le bon moment pour renforcer/ouvrir telle ou telle ligne


Je ne prĂ©tends pas ĂȘtre ni devenir un gourou (quoi que, « Vivien Marabout, vous aide Ă  prospĂ©rer en Bourse, fait revenir l’ĂȘtre aimĂ© et guĂ©ris tous les maux Â», ça sonne bien nan ? :smiley: )

Mais apporter MON expérience, avec MES filtres de qualité, en ayant birn conscience que tout le monde ne pourrait pas adhérer à ça.

Du point de vue « pourquoi payer ta formation/accompagnement plutĂŽt que de trouver les rĂ©ponses sur internet Â», je pense que la rĂ©ponse premiĂšre c’est la mĂȘme pour tout : on Ă©change de l’argent contre du temps, je pense qu’on peut apprendre Ă  peu prĂȘt tout sur internet maintenant (que ce soit jouer au piano, tailler le bois, peindre, ou
 analyser des entreprises).

La formation/coaching n’est pas forcĂ©ment adaptĂ©e Ă  tous, tout comme dans le sport par exemple, un coach Crossfit sera inutile pour quelqu’un prĂ©parant le marathon.

Non Ă  tout cela, et je te dirais que c’est mĂȘme sĂ»rement un « plus Â» pour certains : on parle de dĂ©velopper des compĂ©tences, pas de gĂ©rer des actifs Ă  la place des personnes.

Une analogie (ok un peu lointaine mais que j’aime bien) c’est comme quand, en cours de Physique, tu pigeais rien Ă  l’explication du prof. Puis tu te tournais vers ton voisin, qui t’expliquait avec ses mots, et lĂ  PAF, tout devenait clair. Par ce qu’il te comprenait, par ce que vous parliez le mĂȘme langage.

Au-delĂ  que cette remarque peut s’appliquer Ă  probablement 90% de l’éducation (plus besoin d’éducateurs au sens large), j’espĂšre ne pas avoir besoin de justifier l’importance et les diffĂ©rences entre des interactions humaines vs. homme-machine.

Je ne connais pas ta grand-mĂšre, elle aussi s’intĂ©resse Ă  l’analyse fondamentale des entreprises en lisant les rapports, en analysant les donnĂ©es, en estimant leur valeur intrinsĂšque selon diffĂ©rents scenarii, et en vulgarisant tout ça sur les rĂ©seaux ? :innocent:

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Nombreux sont les diplĂŽmes permettant juste d’attester de « connaissances Â» plutĂŽt que de « compĂ©tences Â».

Un gestionnaire d’actifs pour grands comptes ne sera pas nĂ©cessairement le plus Ă  mĂȘme d’accompagner de « petits Â» budgets. Selon toi, un instructeur de formule 1 ferait-il necessairement un bon moniteur d’auto-Ă©cole ?

Qu’on questionne les compĂ©tences, c’est normal. AprĂšs, un peu de respect ça ne fait pas de mal non plus. @vivien.faim.2.financ a dĂ©jĂ  largement montrĂ© (sur le forum et sur Twitter) qu’il maĂźtrisait son sujet.
Est-ce suffisant ? Ce n’est pas Ă  moi d’en juger. Par contre, je pense que mettre tout ça de cĂŽtĂ© est un peu dommage. On peut ne pas ĂȘtre d’accord et en phase avec ses objectifs et ses idĂ©es professionnelles, sans pour autant le rabaisser.
À moins que ta grand-mĂȘme ne soit une spĂ©cialiste de la question et que tu veuilles juste dire que Vivien n’est pas encore Ă  son niveau ? :wink:

AprĂšs voilĂ , je ne discute pas ton point de vue sur la question. Il est parfaitement lĂ©gitime et respectable (au mĂȘme titre que des points de vue opposĂ©s) ! Je ne fais qu’échanger de façon gĂ©nĂ©rale :slightly_smiling_face:

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Je ne connais pas ta grand-maman, qui est peut-ĂȘtre trĂšs calĂ©e en analyse technique ;
Mais pour en revenir Ă  la lĂ©gitimitĂ©, ça se construit au fil du temps, au grĂ© des formations, certes, mais aussi des interventions, articles, animations


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Pour en revenir au sujet « coaching Â» soulevĂ© par @vivien.faim.2.financ :

  • Oui, le crĂ©neau est bien chargĂ© aujourd’hui (euphĂ©misme) ;
  • D’oĂč l’importance de trouver sa « niche Â», son diffĂ©renciant ;
  • Ce qui implique de trouver le « sweet spot Â» en matiĂšre de positionnement : Format, services, pricing
 ;
  • Le tout en se « couvrant Â» Ă©ventuellement avec les formations/certifs qui vont bien (Pas forcĂ©ment obligatoires de jure, mais de facto la question reviendra souvent).

Conclusion :

Faire de la vulgarisation (expliquer les ratios & indicateurs, dĂ©mystifier la bourse
) est intĂ©ressant, et la demande est lĂ  vu le niveau d’éducation financiĂšre

Par contre, ça ne sera pas (forcément) le plus payant.

Pourquoi ? Parce que les gens attendent un ROI. Un retour sur investissement. Et je pense que peu iront payer pour de l’info « accessible Â».
En revanche, ils seraient beaucoup plus enclins Ă  mettre la main au portefeuille pour acheter de la « perf Â» :
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