J’ai vu ce qu’il c’est passer pendant le covid ça m’a suffit 
A combien vous la voyez ?
Elle est repassée sous les 70€ aujourd’hui avant l’ouverture US, et le détachement du div est dans deux semaines il me semble
J’hésite à en reprendre quelques unes, elle est montée rapidement et furieusement
Et toi ?
Quel est ton analyse sur les derniers evenments de la boite ?
Teuteuteu je demande l’avis général, moi je suis trop indécis pour l’instant. Je la vois plus bas
Toujours compliqué le dossier Amundi. Certes il y a un gros dividende et de la croissance, mais l’entreprise a bien moins d’actifs sous gestion que BlackRock, et dans ce secteur le plus gros a des avantages de coûts !
Encore un secteur où nous, français et européens sommes dominés par les US !
Peut être que cette situation concurrentielle est déjà incluse dans le cours de bourse, de mon côté je préfère regarder les entreprises avec des MOAT plus importants (Euronext notamment)
Euronext ca veut dire pays bas donc double taxation.
Je dirais cto donc.
Amundi n’a toujours pas fait l’acquisition par echange du gestionnaire de fond americain. La nouvelle l’a portée jusqu’a 70 euro mais maintenant il faut que ca se concretise et que ca donne du jus.
Ce n’est pas une association avec un des 3 plus gros aux US mais ca permet tout de meme a amundi de mettre un pied dans les marchés ricains.
W&S
Nota : pour ma part je rachete avec parcimonie voir en dose homeopathique, comme le dit @quentin la boite est bonne mais la psychologie du marché envers elle est parfois incomprehensible…
Je pense qu’il y a plus simple ailleurs a defaut de mieux en pea
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Amundi elle est bien pour son dividende, mais elle est trop en dent de scie pour moi, quand on voit le graph depuis ses débuts,ça fait pas rêver.
Ce qui m’inquièterait c’est plutôt le contrecoup de sa position monopolistique en France, pas forcément à la base la concurrence US puisqu’elle ne joue pas dans la même cour
@kaba elle alterne phases haussières et baissières depuis 2017, ça me semble pas alarmant
Le graph est très en dent de scie, je suis d’accord, mais il est la réprésentation de l’historique de la boite et du sentiment qu’on eu les investisseurs.
Si on s’interesse un peu a son historique de rachat, il est tout a fait logique.
j’ai pas compris ce que tu veux dire 
elle n’a pas de monopole en France.
En disant ça je parle du rachat de Lyxor
oui mais BNP ou SG font aussi de la gestion de fond, des ETF, des sicav …
on ne peut pas parler de monopole.
Allez, je peux placer un « quasi » avant le monopolistique si tu préfères
C’est le plus gros gestionnaire d’ETF européen non ?
C’est le plus gros en terme de capitalisation je te le confirme.
Apres je crois en en terme de resultat sur cette capi bnp est devant. (Resultat comptable)
Il y a un coup à faire là ? Ou c’est un couteau qui tombe ?
tiens @magrappe, je crois que comme moi tu étais pas rassurer par amundi et la décision unicrédit…
Tu veux me virer, je prends de la participation !
j’adore ce genre de réponse
edit : plus complet et plus interessant.
https://investir.lesechos.fr/actu-des-valeurs/la-vie-des-actions/credit-agricole-a-recu-le-soutien-informel-de-rome-sur-banco-bpm-sources-2136495
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Rassurant pour Amundi ?
UniCredit prêt à discuter avec Crédit Agricole au sujet de Banco BPM
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UniCredit prêt à discuter avec Crédit Agricole au sujet de Banco BPM | Crédits photo : © SP – Crédit Agricole SA (© SP – Crédit Agricole SA)
Par Reuters
Publié le 7 déc. 2024 à 20:13
MILAN, 7 décembre (Reuters) - UniCredit est prêt à discuter avec Crédit Agricole qui a augmenté sa participation dans Banco BPM, a déclaré un porte-parole sur LinkedIn de la banque italienne.
La banque italienne UniCredit a fait le mois dernier une offre publique d’achat sur Banco BPM.
Crédit Agricole a déclaré vendredi avoir porté sa participation de 9,9% à 15,1% dans Banco BPM via des instruments dérivés, tout excluant une offre publique d’achat sur l’ensemble du capital. Elle cherche à obtenir l’approbation de la Banque centrale européenne (BCE) pour monter jusqu’à 19,99% du capital.
« La nouvelle d’hier concernant l’augmentation de la participation de Crédit Agricole dans BPM ne change rien pour UniCredit », a déclaré le porte-parole sur le réseau social professionnel LinkedIn.
« Nous avons toujours été prêts à négocier avec [Crédit Agricole], car cela aurait été nécessaire quelle que soit l’ampleur de leur participation. »
Crédit Agricole est devenu le principal actionnaire de Banco BPM en 2022, peu après une tentative de rachat avortée de Banco BPM par UniCredit.
Crédit Agricole a reçu le soutien informel de Rome sur Banco BPM - sources
Crédit Agricole vise une participation de 19,9% dans Banco BPM. L’opération doit être approuvée par la BCE et Rome. Crédit Agricole exclut un rachat complet, veut se concentrer sur sa stratégie commerciale.
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Crédit Agricole a reçu le soutien informel de Rome sur Banco BPM - sources | Crédits photo : Reuters (Reuters)
Par Reuters
Publié le 7 déc. 2024 à 15:58
par Giuseppe Fonte et Valentina Za
ROME, 7 décembre (Reuters) - Crédit Agricole a reçu le soutien informel du gouvernement italien avant d’annoncer vendredi la hausse de sa participation dans Banco BPM , ont rapporté à Reuters deux sources proches du dossier.
L’augmentation de la participation de Crédit Agricole intensifie la bataille en cours dans le secteur bancaire en Italie. Elle a commencé lorsque UniCredit a fait le mois dernier une offre publique d’achat sur Banco BPM, faisant dérailler le plan du gouvernement visant à faciliter la fusion entre Banco BPM et Monte dei Paschi di Siena.
Sollicité, Crédit Agricole s’est refusé à tout commentaire.
La banque française a déclaré vendredi avoir porté sa participation de 9,9% à 15,1% dans Banco BPM via des instruments dérivés, tout excluant une offre publique d’achat sur l’ensemble du capital. Le groupe bancaire français cherche à obtenir l’approbation de la Banque centrale européenne (BCE) pour monter jusqu’à 19,99% au capital de Banco BPM.
Sous couvert d’anonymat, les sources ont déclaré que Crédit Agricole avait informé au préalable le cabinet de la présidente du Conseil italien, Giorgia Meloni, et avait obtenu son accord informel.
CONSOLIDATION DU SECTEUR BANCAIRE
Par ailleurs, une source au fait de la stratégie du Crédit Agricole a déclaré à Reuters que la banque française cherchait à renforcer sa position en termes de négociation afin de protéger ses accords commerciaux en Italie, son principal marché hors de France.
Crédit Agricole est devenu le principal actionnaire de Banco BPM en 2022, peu après une tentative de rachat avortée de Banco BPM par UniCredit.
Crédit Agricole est partenaire de Banco BPM dans les secteurs du crédit à la consommation et de l’assurance. Sa filiale de gestion d’actifs, Amundi, a un contrat de distribution avec UniCredit qui expire en 2027.
Présente en Italie depuis 1972, la banque française a connu une croissance régulière dans le pays, en partie grâce à de petites acquisitions. Des responsables à Rome ont auparavant déclaré à Reuters que la banque avait toujours rassuré le gouvernement sur sa stratégie, excluant toute démarche trop agressive pour accroître ses parts de marché.
Cette stratégie n’a pas changé, a dit l’une des sources.
Le feu vert du gouvernement italien, ainsi que celui de la BCE, est nécessaire pour que Crédit Agricole puisse accroître encore sa participation dans Banco BPM.
Le gouvernement italien dispose de prérogatives lui permettant de bloquer ou de soumettre sous certaines conditions les rachats d’entreprises dans des secteurs stratégiques comme l’énergie, les télécommunications et la banque.
En vertu de ces prérogatives, le gouvernement a son mot à dire sur l’actionnariat des sociétés stratégiques cotées à la Bourse de Milan lorsque certains seuils de participation sont franchis.
Andrea Orcel, l’administrateur délégué d’UniCredit, a déclaré que son groupe ne pouvait pas se permettre d’être mis à l’écart alors que la consolidation du secteur bancaire dans la péninsule s’accélère. Banco BPM avait décidé d’acheter le gestionnaire de fonds Anima Holding et de prendre une participation dans Monte dei Paschi quelques jours avant qu’UniCredit ne lance son offre avec une prime proche de zéro. (Reportage Giuseppe Fonte à Rome et Valentina Za à Milan; version française Claude Chendjou, édité par Kate Entringer)
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