La fiscalité des plus-values et dividendes sur PEA et CTO

Le mieux par rapport Ă  quoi ?

Pour essayer de faire simple :
Les dividendes (entres autres, mais ce sont eux qui nous intéressent ici) perçus sur CTO sont soumis deux types de prélèvements.

Il est possible, sous conditions de revenus (évoquées plusieurs fois sur ce fil), d’être dispensé de ces 12,8%.

Dans le cadre d’un courtier français, c’est ce dernier qui gère la totalité de tout cela. L’investisseur n’a absolument rien à faire. Il est tranquille.

Dans le cadre d’un courtier Ă©tranger, ce dernier ne gère rien du tout, c’est Ă  l’investisseur de dĂ©clarer lui-mĂŞme. Pour ce qui est du prĂ©lèvement forfaitaire unique de 12,8%, toute personne « dans les clous Â» au niveau de ses revenus en est automatiquement dispensĂ©, sans aucune dĂ©marche Ă  effectuer.
Ce qui pose problème, ce sont les Prélèvement Sociaux (17,2%).

  • La rĂ©ponse des impĂ´ts Ă  la question de @maxime laisserait entendre que ceux-ci ne sont Ă  dĂ©clarer et Ă  payer qu’une seule fois par an.
  • Mon point de vue, mon interprĂ©tation de l’article de l’avocat fiscaliste que j’ai citĂ© et les obligations dĂ©claratives imposĂ©es aux courtiers français me laissent penser, au contraire, qu’il est obligatoire de dĂ©clarer les PS chaque mois. Y compris en cas de dispense du PFU.
    Il faudrait alors, sur le CERFA 2078, indiquer 0€ de PFU + les 17,2% de PS.
    Sans quoi, il y aurait une importante différence de traitement entre investisseurs dont les titres sont conservés en France et ceux les ayant à l’étranger.
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