Je ne vais pas vous parler de Total Energy…
Je cherchais une action pour investir dans l’avenir, mais pas dans l’hydrogène, pas dans le fossile que nous connaissons, pas dans le renouvelable qui ne supportera pas nos besoins croissants en énergie…
En faisant ma recherche, je suis tombé sur une entreprise qui travaille sur l’industrialisation d’une énergie que je trouve très prometteuse. L’entreprise est hyper intégrée au projet Iter
Le Réacteur thermonucléaire expérimental international, ou ITER , est un projet international de réacteur nucléaire de recherche civil à fusion nucléaire de type tokamak, situé à proximité immédiate du centre d’études nucléaires de Cadarache à Saint-Paul-lez-Durance. Le projet de recherche s’inscrit dans une démarche à long terme visant à l’industrialisation de la fusion nucléaire. Il associe trente-cinq pays : ceux de l’Union européenne ainsi que l’Inde, le Japon, la Chine, la Russie, la Corée du Sud et les États-Unis, ainsi que la Suisse et le Royaume-Uni en tant qu’États associés à la Communauté européenne de l’énergie atomique
ITER est le plus grand projet scientifique mondial actuel. Par sa complexité, son ambition et son budget hors-norme, ce projet de haute technologie a été comparé au programme Apollo. Il est sujet à de nombreuses controverses, notamment concernant le montant des subventions sur fonds publics, passées de 5 à 19 milliards d’euros, contributions principalement en nature des parties prenantes sous la forme de composants et de systèmes.
L’entrée en activité et la production du premier plasma est prévue pour décembre 2025 et la création du premier plasma de deutérium est prévue pour 2035.
Selon les promoteurs du projet, la démarche à long terme visant à l’industrialisation de la fusion nucléaire nécessiterait de construire ensuite un second réacteur de recherche, plus proche d’un réacteur de production, puis PROTO, un réacteur à valeur de prototype industriel, avant la phase industrielle proprement dite.
Je vous présente les faits :
En 1920, l’astrophysicien anglais Arthur Eddington découvre que l’énergie des étoiles est due à la fusion de noyaux d’hydrogène en hélium.
En 1934, son acolyte Ernest Rutherford réalise la première réaction de fusion en laboratoire.
C’est la première fois que l’Énergie des Étoiles est reproduite artificiellement.
Même à toute petite échelle, la quantité d’énergie produite est sans précédent…
Il réalise alors le potentiel de cette énergie.
Dans les années 1940, des études viennent approfondir le champ de la recherche sur l’Énergie des Étoiles. On comprend alors que l’énergie créée dans les étoiles est possible grâce à la très forte gravité de l’Univers et on envisage alors de la recréer sur Terre à l’aide de champs magnétiques.
En 1946, deux physiciens britanniques déposent le premier brevet pour une machine capable de produire l’Énergie des Étoiles.!
En 1947, la guerre froide et les tensions géopolitiques mettent fin à une recherche publique et internationale. Plusieurs pays lancent leurs recherches isolément et dans le plus grand secret : États-Unis, URSS, Angleterre, France, Allemagne et Japon…
La perspective d’une source d’énergie quasiment inépuisable attise toutes les convoitises – surtout dans un climat de peur où chaque nation doit impérativement pouvoir compter uniquement sur elle-même…
Dans les années 1990, après la guerre froide, elles s’accordent enfin et décident de réunir leurs forces pour recréer ensemble cette énergie révolutionnaire.
La dernière étape à franchir est l’industrialisation
La petite entreprise que je vous présente a un rôle primordial dans la mise en place de cette étape. ET L’ENTREPRISE EST FRANCAISE !!!
C’est une entreprise solide avec 3 contrats au total :
• Un contrat d’ingénierie d’une valeur de 30 millions d’euros,
• Un contrat de gestion de construction qui devrait atteindre une valeur de 174 millions d’euros…
• Et un contrat de maîtrise d’œuvre d’une valeur de 150 millions d’euros (le plus important jamais attribué en Europe) !
Les investisseurs sont aussi très sérieux, le fond souverain de Norvège notamment et une des 500 plus grande fortune de France
La croissance est bonne
Et en plus elle verse un dividende de 1 euro
De plus l’entreprise pilote majoritairement les projets au sein d’Iter
Alors vous allez me dire, tu as quoi pour 30 balles ?
Vous aurez 15 pays d’implantation
Plus de 50 ans d’expertise
Plus de 7000 employés
Près de 500 Millions d’euros de CA
Je vous propose de découvrir le nom de ma nouvelle pépite via ce lien vers la dernière news les concernant.
2eme partie de l’analyse (MAJ 04/11) merci zonebourse
Le cours est sur une belle tendance haussière depuis 1 an pour les fans de trend Following
L’analyse technique confirme cette belle tendance avec des plus hauts de plus en plus haut et un ATH précédent comme objectif. Il y a 2 supports majeurs qui peuvent en cas de correction servir de point d’entrée (28.3 et 30). La prochaine résistance à franchir se situe à 32.4€. En cas d’échec nous pourrions revoir les 30 puis les 31.
Les données financières semblent un peu fragile suite à la période de pandémie, mais également après l’achat de leur 1er concurrent cette année.
Les données valorisation sont très engageantes avec un PER faible et un VE/CA attractif.
Points forts
- Fondamentalement, avec un ratio « valeur d’entreprise sur chiffre d’affaires » de l’ordre de 1.05 pour l’exercice en cours, la société apparaît faiblement valorisée.
- Les analystes ont récemment fortement relevé leurs anticipations de chiffre d’affaires.
- L’objectif de cours moyen des analystes suivant la valeur est relativement éloigné et suppose un potentiel d’appréciation important.
- Au cours des quatre derniers mois l’objectif de cours moyen des analystes a été fortement révisé à la hausse.
Points faibles
- En pourcentage du chiffre d’affaires et sans tenir compte des dotations et amortissements, la société dispose de marges relativement réduites.
- La société est fortement valorisée compte tenu des flux de trésorerie générés par son activité.
- Les estimations des analystes concernant l’évolution de l’activité de la société diffèrent de manière relativement importante les unes aux autres. La visibilité liée à l’activité de la société apparaît relativement faible.
- Dans le passé, le groupe a souvent déçu les analystes en publiant des chiffres d’activité inférieurs à leurs attentes.
Merci de m’avoir lu
DISCLAIMER
J’en ai pris 10 pour votre info et je vais renforcer au fil de l’eau