Suspendu pour lvmh a la baisse c’est une premiere
La classe moyenne supérieure mondiale a changé son mindset et changé son mode de consommation…pas les hyper riches qui sont toujours focus sur l’hyper luxe qui surfe sur son pricing power.. enfin c’est mon avis.
Qui est le plus près de la vérité en général dans les objectifs de cours?
Aucun je dirai, ils donnent des chiffres au hasard.
@deraisin est beaucoup plus proche que eux avec son « pot de pus »
En ce moment, je vois sur tous les réseaux sociaux les sois disant fournisseur dénoncer LVMH, c’est quoi cette connerie ?
c’est a dire ?
Une connerie comme quoi LVMH achète les produits à des fournisseurs chinois à 10 euros le sac etc et tout le monde tombe dans le panneau… Certainement pour faire de la pub à ce genre de site ?
Genre LVMH rachète des contrefaçon chinoises et les revend au prix des vraies ?
je suis pas sur les réseaux sociaux, mais tu devrais leur demander si ils ont de vrai preuve ou si, meme si il y a des photos, ce ne sont pas des copies ?
J’ai plus le nom d’une boite qui c’était fait flingué, elle a fait faire une enquète, ca lui a permis de porté plainte contre 4 entreprises de contre-façon.
C’est bien des conneries, c’est juste des contrefaçons, les chinois sont des pros pour ça, tu en trouves partout mais je déconseille les plaquettes de frein Pigeot
LVMH n’achète évidemment pas chez eux, il y a 0 intérêt pour eux ils se feraient griller directement et ce serait la mort de la marque… Les chinois par contre ont tout intérêt à mentir.
Quelle période pourrie pour l’humanité, on revient à l’époque des chasses aux sorcières où le petit peuple était stupide et suivait aveuglément l’avis de ceux qui hurlaient plus que les autres.
(Sacré Donald)
ah ben j’aime bien ta formule, je m’en resservirais
Hermes ont très peu de lieu de production et en ouvre très peu par an. Ils en on ouverte une dans mon bled natal il y a 1 ou 2 ans. C’est vraiment du n’importe quoi, quand tu connais la rigueur de la marque. Ils peuvent éventuellement avoir des usines en chine, mais ça restera avec la même qualité et le même artisanat qu’on trouve en France (et ça sera pour le marché local, vu la demande)
Les objectifs de cours des analystes n’ont AUCUN intérêt, tout simplement car ils ne sont assortis d’aucun horizon de temps. Dire que LVMH atteindra 800€, ça n’a pas la même portée si c’est à horizon un an ou dix ans… Et les analystes se mouillent jamais sur les délais.
La seule chose intéressante sur ces cours c’est leur évolution : Quand tous les analystes les baissent, ça pue à court terme, et ça devrait amplifier encore un peu la baisse. Et inversement quand ils relèvent leurs objectifs de cour, si c’est significatif en tout cas
J’ai également remarqué ces nombreux achats « d’opportunité », mais… Kékidi?
https://www.challenges.fr/entreprise/lvmh-depuis-linvestiture-de-trump-bernard-arnault-est-plus-opportuniste-que-jamais_602695
En même temps, Tik Tok …
Le réseau social le moins sérieux au monde, on y peut y ajouter une louche de Snapchat également tient.
Hello
Petit article ZB très sympa qui résume les soucis du groupe… A suivre !
Résumé
Les ennuis n’arrivent jamais seuls. En pleine réorganisation, le groupe dirigé par Bernard Arnault éprouve le vieux dicton alors que s’ouvre une nouvelle ère de son histoire.
Après avoir vanté sa stratégie de diversification et chanté ses louanges pendant des années, le consensus des analystes tourne soudainement casaque : toujours à voler dans le sens du vent, le voici qui annonce désormais des lendemains difficiles.
Il est vrai que la demande ralentit tant en Chine qu’aux Etats-Unis, début de récession oblige ; et qu’à force de proliférer, la marque-phare du groupe, Louis Vuitton, a quelque peu perdu de son exclusivité, ce qui conduit certains observateurs à craindre pour elle un scénario à la Gucci ou à la Burberry.
LVMH est par ailleurs la cible d’une agitation croissante sur les réseaux sociaux. Hausses de prix continues mais perçues comme illégitimes face à une qualité qui baisse ; marketing souvent qualifié de « toxique » — notamment outre-Atlantique — tant il joue sur l’apparat et s’adjoint les services d’ambassadeurs parfois controversés ; etc.
Le changement de perception des investisseurs est bien réel, comme le montre l’évolution du cours du titre depuis quelques mois. Le marché anticipe-t-il une chute de Louis Vuitton de son piédestal ? C’est ce que semble signaler la capitalisation boursière de LVMH, passée récemment sous celle de son nemesis Hermès.
C’est que le groupe contrôlé par la famille Dumas, lui, poursuit son sans-fautes. Monomarque et authentiquement « exclusif », il annonçait ce matin des ventes en hausse de 9% sur le premier trimestre 2025. Manifestement invulnérable à la conjoncture, du moins pour l’instant, ses affaires restent bonnes tant en Chine qu’aux Etats-Unis. Voir à ce sujet Hermès : Le roi et sa couronne.
Si tous ces sujets d’inquiétude sont bien réels, les fondamentaux de LVMH restent bons, et son historique à dix ans à couper le souffle. Le groupe, rappelons-le, a vu son chiffre d’affaires croître à un rythme annualisé de 10.1% sur la dernière décennie — ce qui n’est pas peu de choses vu le niveau d’où il est parti.
Sur la période, son profit a triplé et la distribution de dividendes quadruplé — sans même évoquer les rachats d’actions, modestes en montants et pour le coup assez mal séquencés puisque réalisés aux plus-hauts. Le cycle a par ailleurs été marqué par une superbe prise de guerre avec l’acquisition de Tiffany.
Sur le premier trimestre 2025, le segment mode et maroquinerie — qui représente la moitié des ventes — baisse bel et bien, mais de seulement 4%. L’ambiance est morose ailleurs, mais pas catastrophique non plus ; la croissance est nulle ou atone sur les segments distribution, joaillerie et parfumerie, qui pris ensemble représentent 44% des ventes.
C’est le segment vins et spiritueux — le moins stratégique donc — qui n’en finit pas d’accuser le coup, avec une chute des ventes de 8% dans la droite lignée de sa contre-performance de l’année dernière à la même époque. Le secteur reste en proie à de sérieuses difficultés, ce qui ne présage rien de bon pour les prochains résultats de concurrents comme Diageo, Campari, Rémy Cointreau ou Pernod Ricard.
Pour la première fois depuis fort longtemps — depuis la crise de l’euro — la valorisation de LVMH repasse très nettement sous le seuil de vingt fois les profits. Le marché, on le voit, traite encore le groupe avec certains égards, et reste encore loin de jeter l’éponge.
Ce n’est par ailleurs pas la première tempête qu’affronte le paquebot commandé par Bernard Arnault. Ce qui ne veut pas dire que le risque est pris à la légère au siège de l’avenue Montaigne, comme le prouve la réorganisation de son état-major et la rumeur d’une séparation de Moët Hennessy qui enfle depuis la nomination du directeur financier du groupe à la tête de la filiale
Merci pour l’article. Hier, Arnault a balayé ces rumeurs avec Moët Hennessy. Toutefois, une chose peut rassurer face à cet article intéressant. Arnault a fait un long discours assez pédagogique et passionnant sur la stratégie. Il a clairement donné comme cap de toucher une clientèle « haut-de-gamme » (moins sensible à la conjoncture), quitte à faire moins de croissance à court terme. Son modèle dans le groupe est Loro Piana.